1. TABLE DE SAPIN 5


    Datte: 05/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Depuis quelque temps nous avions décidé avec Colette, pour pimenter notre relation d’aller faire nos cochonneries à l’extérieur. Dans les bois, tout proche de chez elle, pour être plus précis. Comme à chaque fois j’étais venu la chercher en voiture au pied de son portail. Deux kilomètres plus loin, je quittais la voie principale pour m’engager sur une départementale déserte. Des deux côtés de la route, les arbres défilaient. Colette à mes côtés, gardait le silence. Moi au volant, j’étais aux aguets pour repérer le chemin où je devais m'engager. Ceci fait, je m’orientais jusqu’au bouquet d’arbres. Là où nous avions pris possession les fois précédentes. L’endroit avait la particularité d’être désert. Mais avant d’y arriver, je me cramponnais au volant pour éviter les profondes ornières creusées par le passage des tracteurs. Encore quelques mètres et je stoppais. Le chemin rétrécissant ne nous permettait pas de nous aventurer plus loin. Il nous fallait continuer à pied. Couverture sous le bras nous nous dirigions vers notre lit d’amour. Sur place, je l’ai étendu sur le sol. Très excitait, sans perdre de temps je me suis déshabillé. Et ce fut nu que je m’allongeais sur la couverture. À aucun moment, Colette ne m’avait quitté des yeux. Son regard noir s’étrécissait. Un sourire rusé découvrait sa denture irrégulière, alors qu‘elle se déchaussait. Elle sortait de son silence pour m’ordonner de me placer sur le dos. Restait debout, elle me tendit son pied pour que je le les lui ...
    ... lèche. Comme toujours, et cela à n’importe quelle saison de l’année, il était gainé de nylon couleur pêche premier prix. À travers je pouvais apercevoir ses orteils, ainsi que ses talons calleux. Une lueur excitée allumait ses petits yeux noirs. Je pris une grande inspiration. Il s’en dégageait une odeur de propre mélangée à celle du corporelle musquée. Machinalement, je me mis à lécher son gros orteil. Enchainant sur tout son pied. Peu à peu un goût acidulé s’en dégageait. - J’adore ce que tu me fais… m’envoya-t-elle. En fermant ses yeux. - Cochonne-je paris que tu aies en train d’humidifier ton fond de collant. - En voilà des manières. Ce n'est comme cela qu’en cause à sa gentille belle-maman . - Oui. C’est comme ça que je parle à une Vilaine qui ne pense pas et respire que cul… - Tu l’auras cherché. Reprenant son pied de mes mains, elle se précipita sur moi. Alors que j’étais toujours allongé sur le dos allongé sur le dos. Elle se servit de moi, comme elle l’aurait fait avec un paillasson. Me piétinant. Finissant sa riposte par une fessée. Sèches et dures, à l'aide de sa main. Il m’en fallait pas plus pour faire grimper un peu plus mon excitation. - Tu m’as fait mal. Me plaignais-je. - Tu ne l’as pas volé celle-là. Puis elle prit appui sur la couverture, en y posant ses genoux. La gourmande, comme elle le faisait à chacune de nos rencontres, enroula ses doigts autour de ma queue dur. S’ensuivait une empoignade ferme, et pour finir me branla. D’un va-et-vient très virgulant. ...
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