-
TABLE DE SAPIN 5
Datte: 05/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... d’absence que j’avais eu en découvrant la gamine si près de nous. Après m’avoir vider, j’hélais la voyeuse. - Le spectacle t’a plu. Elle ne répondait pas sur-le-champ. Ce contentant de nous regarder, avec audace. Je soutenais son regard. Puis d’un signe de tête elle me fit que oui. Elle n’avait vraiment pas froid aux yeux, la chipie. Je lui ai demandé si elle voulait participer. Là, elle répliqua : - Non. Je ne compte pas bouger d‘ici. Je suis bien où je suis. Les sourcils de Colette se haussaient d’étonnement. Ouvrait la bouche. La refermait sans rien dire. - Tu peux toujours d’approcher. Tu verras mieux. Elle n’a pas souhaité suivre mon conseil. Un sourire indéfinissable jouait sur ses lèvres. - Non, je suis bien où je suis. Pour son hardiesse, j’avais envie de donner à la jeune fille, un complément d’initiation. Tout en la regardant droit dans les yeux, j’ordonnais à Colette : - Suce-moi. Comme honoré de montrer son savoir-faire dans la matière, elle ne se fit pas prier pour se pencher vers mon bas-ventre. Prenant entre ses doigts ma queue à demi-dressée, souillé de nos jouissances. J’émis un râle de satisfaction, alors que ses lèvres effleuraient ma queue polluée de plaisir. Et criais quand sa bouche m’aspira. De son poste de voyeuse, la jeune fille continuait à se faire du bien. Je distinguais nettement sa main s’activait dans son jean. Exerçant des mouvements rotatifs. Mon regard vint se poser sur ma suceuse. Elle avait les joues gonflaient comme celles d’une gamine ...
... gavée de bonbons. Une impression indescriptible s’empara alors de moi. À m’en faire fermer les yeux de plaisir. Emporté par une pulsion venue de plus profond de moi-même. Je poussais un long râle de satisfaction. Frappé d’un orgasme foudroyant. Souffle court, haletant je déversais ma seconde semence, moins copieuse dans la bouche de Colette. Quand j’ai ouvert les yeux la jeune fille, c'était fait la belle. J‘ai cru un moment que j‘avais rêvé. Mais Colette me réconforta sur le sujet, tout en se rajustant. - Tu crois qu’elle va le raconter . - À qui veux-tu qu'elle le dise. Tu la connais toi . - Non… jamais vue dans le quartier. Fit Colette en pliant la couverture. Que fut ma surprise, quelques jours plus tard, alors que je sortais de mon boulot je tombais nez à nez avec la branleuse des bois au chien noir. À son visage qui s’était éclairé, je compris tout de suite qu’elle m’avait reconnue. - C’est vous ! S’exclamait-elle. - Oui c’est moi. Comprenant où elle voulait en venir. L’effrontée prit même la peine de s‘approcher de moi à me toucher, pour me murmurer : - Alors… je ne vous pas revu dans les bois avec votre vieille. M’envoya-t-elle. - Non. Nous ne sommes pas retourné. - Oui. Je m’en suis aperçu. - Alors pourquoi poser la question. Répondant au tac. Je la contournais pour aller rejoindre ma voiture. Mais la gamine ne se démonta pas, et me colla à mes Basques. - Ça vous déplaît . Je me retournais d’un bloc. Elle s’arrêta devant moi. Affectant une mine presque miséreuse. Elle ...