Une baise française
Datte: 29/12/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
inconnu,
noculotte,
Oral
pénétratio,
québec,
Tout commença lors d’un match de hockey du Canadien de Montréal contre les Maple Leafs de Toronto. C’était un certain 17 mars. J’avais, déjà, assisté à des « game » de hockey, auparavant, mais jamais cela m’avait attisée à un tel point que je devais absolument réaliser mon fantasme. J’étais encore jeune, seulement 22 ans. Je n’avais d’yeux que pour le gardien vedette de l’équipe montréalaise : Cristobal. Pourtant je l’avais vu jouer maintes et maintes fois, mais cette journée-là, j’eus en quelque sorte un coup de foudre pour lui. Il était là devant son filet, probablement essoufflé et en sueur, se jetant de l’eau sur le visage, provenant de sa gourde bleue. Tout au long de la saison, je ne cessai de penser à comment je pourrais faire pour entrer en contact avec lui, de manière plutôt discrète. Mais je ne trouvai aucune idée concrète, au point de me faire agir. À 22 ans, j’habitais seule dans le quartier des Mesnils à Québec, dans un appartement pour le moins luxueux, mais tout de même simple. J’étais célibataire, et je comptais le rester encore quelque temps, question de réaliser quelques fantasmes bien à moi ! Mon physique ? Je suis une grande blonde d’1 mètre 65 et de 52 kg. J’ai les yeux d’un bleu pétillant, un petit nez en triangle et de belles lèvres pulpeuses. Ma poitrine est très ferme et proportionnelle au reste de mon corps (36 B, bien rempli), un beau fessier bien relevé et des cuisses musclées, résultat d’un bon entraînement. J’adore jouer au tennis et au soccer. ...
... Quant à ma carrière professionnelle, je venais de terminer mon cours en communication, pour pouvoir travailler un jour à la télévision. Je me doutais avoir le potentiel pour le faire, mais toujours aucune offre à cette date-ci. Ce n’était pourtant pas les cv qui manquaient. Pour cela, j’en avais distribué plusieurs. Mais sans réponse. Alors pour pouvoir payer mon appartement et mes petites dépenses, je remplissais des contrats de mannequins et je posais également dans quelques revues. Nous étions en plein été, et c’était la grosse chaleur à Québec. Je n’en pouvais plus de rester à l’intérieur pour me rafraîchir. Surtout que j’avais passé quasiment tous mes temps libres de l’hiver et du printemps, enfermée ici à assouvir mes pulsions sexuelles avec mon « Billy Boy », nom donné affectueusement à mon vibrateur multifonctions. Je m’étais résignée à oublier mon gardien de but et à passer à autre chose de plus concret. J’avais proposé à une copine de me rejoindre sur le terrain pour une partie de tennis amicale. Elle accepta sur-le-champ. Rendue là, je ne pus m’empêcher de lui conter tous mes rêves érotiques sur l’homme que je ne baiserais jamais. Erika, une nymphomane invétérée, qui était aussi ma meilleure amie, ne put se retenir de rire et de rire encore. — Pourquoi ne m’as-tu pas parlé de ça avant ? me dit-elle tout sourire.— Et bien, cela fait très longtemps que je tente de te rejoindre, mais tu n’es jamais disponible, trop occupée à baiser avec tes prétendants ! répondis-je.— ...