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Une baise française
Datte: 29/12/2017, Catégories: fh, ffh, inconnu, noculotte, Oral pénétratio, québec,
... voir crier de plaisir. — Gâte-toi, ma belle !— Ahhh… c’est bon… Ahhh… ouiii… À cet instant, il me prit par les bras pour que je me relève et m’emmena près du mur. Il me prit dans ses bras, faisant glisser habilement sa queue en moi. Il me ramonait, alors que je m’efforçais de garder mes jambes jointes et serrées autour de sa taille. Il avait très chaud et la sueur, celle-là même qui m’avait fait craquer au premier match, s’était mise à couler le long de son dos athlétique. Mais il continuait de me baiser sans ralentir… quelle endurance ! Sa présence dans la même pièce était suffisante à me faire jouir, alors en me regardant dans les yeux, je chavirai à nouveau. Je succombai à ses coups de queue et jouis encore. C’était tout aussi puissant que la première fois. Toujours dans ses bras et son sexe dans le mien, il m’emmena dans ma chambre. Il s’assit sur mon lit. — Maintenant… à toi de me faire exploser, jolie petite déesse !— Mais avec plaisir, beau gosse ! J’étais par-dessus lui en cavalière et il me donnait le « go » pour que je lui montre mes prouesses de bonne baiseuse. Je m’installai bien droite et contractai les parois de ma chatte qui se resserra sur sa verge sensible. Je ...
... m’avançai vers lui, et fis de petits aller-retour… descendant profondément et remontant en ne laissant qu’une partie du gland dans ma chatte… je l’agaçai ainsi pendant quelques secondes. — Humm… j’adore… tu m’excites… Kelly… ouaiiis… fais-moi jouir ! Il voulait jouir, et bien il allait jouir… j’allai de plus en plus vite, le regardant prendre son pied à fond. — Ahhhh ouaiiis… je vais exploser… Comme le processus était enclenché, et bien je continuai le même rythme jusqu’à ce qu’il se vide en moi. — Humm… ouiii c’est ça… ahhhhh… Je sentis un liquide très chaud m’envahir… c’était magique comme sensation ! Je me retournai sur le dos à sa droite. Il me regarda et vint m’embrasser soigneusement. — Tu m’as fait voir des étoiles… lança-t-il, encore essoufflé.— Tu es une vraie bête de sexe, toi !— Ah ! Tu trouves ? me dit-il sarcastiquement. Je n’avais jamais été aussi bien avec un homme depuis fort longtemps…et je ne voulais jamais que ce moment finisse. — Tu voudrais dormir ici, ce soir ? lui demandai-je. Il me sourit. — J’espérais que tu me le demandes ! répondit-il. Je défis les couvertures, on s’y cacha, encore nus, je m’endormis satisfaite et souriante sur le torse de Cristobal.