Les deux Zézettes (1)
Datte: 29/12/2017,
Catégories:
Divers,
... temps, je me souviens de leur troublante compagnie. Car, surtout et en sus, elles bé-bégayaient et zézayaient, et pas qu’un peu, les d-d-deux Zé-zé-zettes ! « Enc, enc, enc, enc… » : Je ne savais jamais ce qui allait suivre, alors j’interprétais du meilleur au pire. Mamma mia ! Ces bégaiements donnaient d’interminables et jouissifs hoquets à tous leurs trous ! « Enc… enc… enc… » : Jamais je n’oublierai les d-de-eux Zé-zzézettes et leurs « Enc, enc… Huh enc. Huh. enc. Huh…» T-tu… tu-tu c-comprends ? Elles ne seraient pas de ta famille, d-des fois ? Pa-parfois, ce bégaiement me ga-gagne ; af-affaire d-de mé-mémoire. Bon, tu veux toujours quelques-uns de mes souvenirs, les ceusses qui te touchent direct ? Re: re: re: re: Oui ! EncOOOOOore ! Je me relance aussi sec, les couilles humides. Je te connais à peine qu’un peu mieux, ma grosse et grasse moulemouillée. Tu n’es pas Normande pour rien : Pays de Caux, pays plat mais lubrique. Étretat et son aiguille creuse. Veulues-les-Roses, Foutreville, Fougueusemare, Bittefleurs, Fourrevillle-en-Caux… rien que la carte te fait travailler l’entrejambe. Je parie que tu es la sixième fille de la famille "de Zézette" ; la seulette, la dernière. Pas vrai ? Tu as anglicisé ton nom et affirmé ta partie cul : « The Zézette », c’est à dire la meilleure, ze gourmande, ze onctueuse !… Aux Bretons les omelettes baveuses ; à nous, Normands, la moule à la crème, ouverte. Ze tienne is ze best! N’est-ce pas, The Zézette ? Sais-tu comment j’ai deviné ...
... tes origines familiales ? L’expérience, ma chère, l’expérience. Quelques souvenirs. Toi, ma grasse vache à quatre pattes, les mamelles pendantes, tes grosses fesses brillantes roses de plaisir anticipé… J’avais entré juste ce qu’il fallait de ma bite dans le trou de ton cul : le gland, tout le gland, rien que le gland. Tu meuglais, à cette époque. Tu m’as dit : « Bouge plus, restes où tu es ! Lààà, oui, co-comme ça, pas plus. Ouiiiii… Aïe… Meuuuuuhhhh… C’est b-bon ! » Tu moulais ton anus sur mon gland, tu savais et salivais ce que tu faisais... Moi, chez toi, j’étais comme chez moi. Toi, tu savais recevoir ! Toi et moi savions bien où nous étions : chez nous, ma grosse, chez nous. Tu as assuré-serré ton anneau nuptial – celui du cul – ras mon champignon et bandé à mort tes fesses à plis, et zou! Youpeeee, oooh. Hop, hop ! Yeah, Youki yeah… Huuuuh, hop, hop ! C’était parti pour le Festival Texan de Haute et Basse-Normandie ! Avec la voix de tes sœurs « Enc. enc. enc… », tu m’as fais savourer la totale, la cadence à cheval, le rodéo extrême, les saccades olympiques, la vachette cauchoise, les vacherillettes du Mans et les taureaux de Navarre. J’étais le picador, tu étais la vache folle et c’est toi qui me tenais par le gland. Le comble ! Mes couilles ballottaient en tout sens, leurs cloches appelant à grand-messe te battaient l’intérieur, sous les fesses, à ta fente, dans ta mouillette. Tu aimais ces coups : « Hoummpf, Humpf… Humpf, houmpf… » Mon Dieu ! Ce son de gros bourdon me ...