Les deux Zézettes (1)
Datte: 29/12/2017,
Catégories:
Divers,
... vibre encore les testicouilles. Mes ongles ancrés excitaient la graisse de tes fesses rouges. Je hurlais « Yeah ! Vas-y, ma grosse, lâche-toi, fais-moi le coup du lapin, celui de la pine, explose-moi les varices, arrache-moi la queue ! » Ma main-cravache tombait et retombait, fouettant le beurre de ton cul à vif. J’étais cow-boy, tu me domptais par la queue ; paraît même qu’on a fait venir la télé. Le public hurlait, trépignait, crachait du foutre par-ci, giclait de la mouille par-là, chaude pluie normande partout. Ma bite s’étirait, revenait, dilatait, élastiquait. Ton gros cul de bovine volait lourdement en tout sens ; la graisse vivante, la gélatine de tes fesses tremblait. Mes mains s’agrippaient, mes doigts étaient à l’os. Et toi ; enc. enc. encoore… Et ta moule giclait. Sur le sable, à marée-mouillée, les rigoles de ton jus montaient jusqu’aux tribunes. La mairie a fait interdire le spectacle : « Incitemment (sic) à la débauche et exitassion (re-sic) à des ordres publics. (re-re-sic) » Pas d’appel, ni de rappel possible. Définisnif, snif ! Pas grave, ma toute grosse, le Web est grand : nous irons nous enculer ailleurs. Tu me chuchotes : « Fieu, la prochaine fois je t’attache solide et ce sera ton poteau tout entier fiché dans mon fion et tes grelots dans ma fiente. Je t’attacherais si serré que je te promets le rodéo à la lune, la vraie. Couilles en flammes et bite pompée, gonflée, pire qu’à l’hélium, je dirigerais ton dirigeable vers le douzième ciel et bien au-delà, ...
... à la poursuite des étoiles bandantes. Il faudra les pompiers pour nous séparer, te libérer toi et s’occuper de moi à coups de lance à dérouleur. » Un riche vicieux voulait produire ce spectacle, l’appeler « Le Retour de la Vache et le Prisonnier » et le vendre très cher aux Indes, là où les vaches sont sacrées. J’imaginais déjà Madame Fakire enfilant sa paire de glands par leur trou à foutre, bien serrés sur ses longs doigts. Pourtant mon machin, tout aux affaires de ton cul, gonflait, rougissait, violetait, durcissait, surgonflait derrière ton bracelet élastique, à l’intérieur de ton boyau à merde, se foutant de la politique municipale comme de sa première branlette. Ton cul serrait, serrait, serrait autour de ma pine puis tu lâchais, tu serrais, tu lâchais, serrais, lâchais… Serrer, lâcher, serrelâcher, serlâche. De plus en plus fort, de plus en plus vite… Ma grosse, ton cul bégayait mieux que celui de tes frangines ! Tu avais compris le succès des jumelles, et moi j’avais compris – bite en long, gland rouge pompier, testicules en surpression de ton con-presseur – que tu étais de la famille de ces "de Zézézézézézette", ces prétentieux de mes quatre. J’appris ainsi que tu détenais Ze fameux secret of ze family. Le fameux bégaiement. Il paraît que tes grand-mè-mères bégayaient un peu, ton gr-grand-pè-père aussi ; tes arr-arr-arr- arr-arrière-arr-arrête-arr-ar-rière ar-rière gr-grands-papa-rents aussi ; si, si ! C’est ainsi, si, si ; qu’ils ont eu tout plein de bébé-bébelles ...