1. Audrey, lumière dans les ténè


    Datte: 29/12/2017, Catégories: Masturbation

    ... Chacune de ses visites constitue ma dose d’héroïne qui me permet de tenir, dans cet univers ou se concentre le pire héritage de toute l’évolution. Je tiendrai bon, pour elle. Je ne suis pas un criminel, j’ai juste été un gros con, je l’assume et j’accepte d’en payer le prix. Car après tout ça, je serais de nouveau avec elle. Rien d’autre n’a d’importance.Au moment où j’écris ces mots, ça fait quelques heures qu’elle est repartie. Aujourd’hui, c’est mon anniversaire, alors elle est venue me le souhaiter à sa façon. Vous voulez que je vous raconte ? Ah, vous voulez savoir, hein ?Très bien, je vais raconter ce qui s’est passé. Mais c’est Audrey qui est douée pour raconter, moi j’ai jamais été à l’aise avec les mots. Mon truc c’est les fioles, les spectromètres et les tubes à essai.Elle est arrivée à l’heure prévue, vers quinze heure. On s’est retrouvé dans la même salle que d’habitude pour les visites conjugales. C’est pas très romantique, mais on n’a jamais eu besoin de ça pour prendre notre pied.Je m’étais préparé pour l’occasion, avec la chemise qu’elle aime tant, son parfum préféré, et une barbe de trois jours, à la fois douce et piquante (elle adore sentir ma barbe, notamment quand je m’occupe de son abricot. J’ai jamais vraiment compris pourquoi, mais ce qui est bon pour elle, c’est bon pour moi).Audrey, elle, était splendide, comme d’habitude. Ses longs cheveux châtains tombaient en cascade sur ses épaules, recouvrant les deux bretelles de sa robe estivale, blanche avec ...
    ... de grandes fleurs à peine dessinées sur le tissu, qu’elle portait sans soutien-gorge.Elle avait apporté un petit panier en osier fermé (elle aimait bien me faire des surprises, en apportant des tenues… qu’elle ne pouvait pas porter en dehors de la pièce. Vous voyez le genre !), mais elle ne prit pas le temps de me révéler son contenu, qu’elle me poussa directement sur le lit deux places. Elle devait vouloir s’amuser à un petit jeu de rôle, ce qui n’était pas pour me déplaire.« Vous êtes suspecté de porter sur vous des substances illégales, monsieur. Vous avez le droit de garder le silence »« Oh, vous allez m’arrêter, madame ? Et si je ne me laisse pas faire ? »Elle s’empara alors d’un bâillon qu’elle avait amené, et le mit autour de ma bouche sans ménagement. « Laissez-moi faire mon boulot, sinon vous me le paierez »« Mmhhhh…. »Elle s’assit alors à califourchon sur moi, s’empara de ma main droite et « clac, zip, clac » elle m’accrocha la main sur les barreaux du lit avec des menottes. Puis elle fit de même avec le deuxième main. « Clac, zip, clac ».« Je suis au regret de vous informer que je vais devoir réaliser une fouille corporelle pour vérifier mes informations », dit-elle dans un sourire.Elle me caresse alors lentement les bras, en descendant doucement vers le torse, en faisant parfois semblant de chercher quelque chose de caché. En arrivant au niveau de mon col, elle commence à défaire doucement les boutons de ma chemise. Ma respiration s’accélère progressivement, ce ...
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