1. Joyeux Noël, Monsieur Booth !


    Datte: 30/12/2017, Catégories: fh, couple, grosseins, magasin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour, policier,

    ... Donc forcément suspecte, elle aussi… malgré le fait qu’elle soit plutôt mignonne… Karen m’envoya une tape sur l’épaule, serait-ce un soupçon de jalousie ? J’en étais plutôt fier en tout cas. — Le gros qui se balade derrière la caisse, c’est Max, le comptable.— Il a rien de mieux à faire que de se promener dans le magasin ?— D’après Krunschik, il est surtout là pour compter les bénéfices à la fin de la journée, le reste du temps il n’a rien d’intéressant.— Donc suspect potentiel : le type qui voit le fric passer entre ses mains mais qui n’empoche finalement pas grand-chose.— Celui qui se planque là-bas, à l’entrée de la réserve, c’est Johnny.— Il a une sale gueule celui-là…— C’est pour ça qu’il est magasinier : si on le met dans les rayons, il fait peur aux gosses, alors il reste dans l’arrière-boutique. Je me fis la réflexion que le nom "Krunschik", au niveau de la peur enfantine, c’était pas mal non plus. — Et le vieux à l’entrée ?— C’est Barry, le responsable de la sécurité. Un ancien flic qui fait des extras pour financer sa petite retraite.— Donc absolument pas suspect ; un type qui bosse après 60 ans inspire plus la pitié que la suspicion.— Eh oui, Don, encore une victime du système actuel…— Il y a un escalier là-bas, il mène où ? Il arrive parfois que ma faculté d’observation m’étonne moi-même. — À l’étage : quelques rayons en plus et le bureau du patron avec le coffre-fort dans lequel est gardée la recette.— Donc il faudra surveiller l’escalier. Qui a les clés du ...
    ... magasin ?— Demande-lui. En effet, mon honorable employeur nous honorait de sa présence. — Tous les employés ont la clé de la porte principale. Sinon, il existe une porte qui donne sur la réserve, et il n’y a que moi et Barry, le responsable de la sécurité, qui possédons la clé. Avez-vous d’autres questions ?— Non, ça ira pour le moment.— Ouvrez l’œil, et le bon, je crois que c’est ce que l’on dit dans ces cas-là… 24 décembre ; 18 heures Des bruits étranges venaient de la réserve et me tenaient en haleine. Il était clair que quelqu’un se donnait du plaisir, et que ce monsieur n’était pas tout seul. Mon esprit calculait à la vitesse d’un ordinateur de la NASA. Un couple qui se tape une bonne vieille partie de jambes en l’air dans l’arrière boutique d’un magasin de jouets le soir de Noël ? Des employés ? Des exhibitionnistes qui trouvaient ainsi le moyen de pimenter les derniers achats pour leurs gosses ? Et puis surtout : devais-je surprendre les amants ? Après tout, cela n’était pas mon travail, j’étais là pour surveiller la recette, pas les ébats du mystérieux couple de la réserve. En même temps, cela pouvait peut-être m’éclairer sur la situation du magasin, et puis surtout j’avais envie de me rincer l’œil. Je progressai doucement en me cachant derrière des caisses de jeu de construction et pus risquer un œil vers l’objet de mon délit. La vue malheureusement obstruée, je ne vis rien d’autre qu’un joli cul féminin, blanc, rond et apparemment bien ferme, et la hanche poilue d’un ...
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