1. Joyeux Noël, Monsieur Booth !


    Datte: 30/12/2017, Catégories: fh, couple, grosseins, magasin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour, policier,

    ... homme qui enfournait son bâton dans la rondeur appétissante du postérieur féminin. J’imaginais mal un client venir ainsi dans la réserve et mon raisonnement se porta donc plus sur un employé. La réserve était le domaine de Johnny, mais j’imaginais mal le jeune rebelle au visage monstrueux avoir la chance de se taper une fille au cul si joli. Le comptable qui n’a rien d’autre à faire ? Dur à croire également. Quant aux autres, ils étaient tous à leur poste d’après ce que j’avais pu voir. Alors qui ? Les gémissements du couple emplissaient mes oreilles et empêchaient le super-ordinateur de la NASA de fonctionner à 100%. J’étais partagé entre le désir d’en voir plus et la peur de me faire remarquer. Une fille presque nue se mettant à hurler au milieu d’un magasin de jouet pouvait certes provoquer une certaine panique et surtout bousiller ma discrétion. D’un autre coté, je ne pouvais pas rester indifférent aux ébats du couple. Le calculateur de la NASA commençait à chauffer devant ce dilemme cornélien. Totalement bloqué dans mon raisonnement, j’en étais réduit à imaginer la scène : une belle femme, peut-être blonde, juste vêtue d’un bonnet de Noël, l’opulente poitrine se balançant au gré des va-et-vient de l’Apollon qui la besognait à grands renforts de hurlements sauvages, véritable guerrier ancestral au corps luisant de sueur et au torse musclé sentant la peau de bête et la terre humide, qui pistonnait le petit corps qui se cabrait comme une jument en rut pour accueillir au ...
    ... plus profond de son intimité le membre viril durci de plaisir. Trop de poésie pour moi : je me tortillai derrière les caisses de jeu afin de sortir ma queue tendue sous mon froc, je perdis l’équilibre et m’étalai de tout mon long, le sexe à moitié sorti du pantalon. Les doigts empêtrés dans ma ceinture j’essayais de ranger mon engin qui avait fort heureusement repris une taille plus facile à dissimuler en me préparant à sortir une excuse bidon du genre "désolé, une envie pressante et je n’ai pas trouvé les toilettes", mais une voix masculine parfaitement calme coupa court à mes explications : — Tiens, salut Don. Mon sang ne fit qu’un tour : — Dob Nooth !!!— Oui, c’est bien moi. Tu te souviens de Clara, mon assistante ? Derrière l’homme, je vis la jolie blondinette me faire un petit signe de la tête tout en remettant ses vêtements, à peine gênée par mon arrivée en fanfare. Il me fallut quelques instants pour reprendre mes esprits. Que faisait Dob Nooth, mon plus grand rival, dans ce magasin ? Pourquoi était-il dans la réserve ? Et en train de se taper son assistante, quelle étrange idée ! Et pourquoi cette fichue braguette refusait-elle d’accomplir son office et de sagement remonter ? — Qu’est-ce que vous faites là, tous les deux ? Les deux complices échangèrent un regard bovin. — Ben… Est-il vraiment utile d’expliquer la situation ?— Non, je voulais dire : pourquoi êtes-vous dans ce magasin ? Ils n’eurent pas le temps de formuler une réponse que je devinais riche d’enseignement ...
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