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Joyeux Noël, Monsieur Booth !
Datte: 30/12/2017, Catégories: fh, couple, grosseins, magasin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour, policier,
... s’empala sur moi jusqu’à la garde en poussant un petit soupir de contentement et marqua une pause afin de savourer le moment. Puis elle posa ses mains sur mon torse et s’appuya sur moi pour faire monter et descendre son bassin autour de ma verge. Elle guidait entièrement le mouvement, décidait d’accélérer ou de ralentir comme elle le voulait et avait un contrôle total sur la situation. Ma position était plus que confortable : tranquillement vautré sur le dos, mes mains pouvaient se balader où elles voulaient sur le corps chaud et ferme de la blondinette pendant que mes yeux pervers n’étaient pas en reste et naviguaient des cuisses lisses au pubis délicatement épilé, de ma queue qui s’enfonçait dans sa vulve à ses seins qui se trémoussaient au-dessus de mon visage dans une danse vicieuse et provocante. Elle me baisait comme une femme se tape un godemiché et même si je me sentais un peu délaissé, je dois malheureusement admettre que j’en ressentais un certain plaisir. Ses gémissements se faisaient de plus en plus forts au fur et à mesure qu’elle se déhanchait au-dessus de ma queue qui lui fouillait l’intimité, et mes yeux ne pouvaient se refermer sur l’excitant spectacle de son bassin montant et descendant au-dessus de ma bite et sur ses seins qui tressautaient à quelques dizaines de centimètres de mon visage. Elle était tout à son plaisir et se servait de moi comme d’une de ces "fucking-machines" qu’on voit dans les sites pornos. Dans un râle guerrier, je déchargeai sans ...
... complexe et elle donna plus d’ampleur à ses mouvements comme pour extraire de mon corps ivre de plaisir la moindre goutte de foutre qui aurait échappé à l’ouverture des vannes avant de s’affaler sur moi, épuisée mais heureuse. 25 décembre ; 3 heures J’étais à terre, comme cloué au sol par une presse hydraulique surpuissante. Incapable de me relever malgré une débauche de force surhumaine, je ne pouvais qu’enrager en voyant Dob Nooth me dominer de toute sa taille et rire en me donnant des coups de pied. Il tenait entre les mains une sorte de ridicule poupée représentant le Père Noël, et la poupée aussi semblait se moquer de moi. C’est au milieu de cette situation aussi frustrante qu’humiliante que j’ouvris les yeux ; ce n’était qu’un rêve ! — Don, tu devrais avoir honte, me dit Karen. Que ta braguette soit ouverte, passe encore, mais que tu exposes tout ton attirail au regard de tous, là c’est franchement dégoûtant ! Dégoûtant, dégoûtant… D’habitude elle ne disait pas ça ! Je rangeai prestement la bête dans sa tanière tout en me relevant sous le regard sarcastique de Nooth. Depuis quand étais-je endormi ? Un coup d’œil vers Clara qui achevait de se rhabiller à l’écart de notre groupe m’apprit que je n’avais pas imaginé le meilleur. — Désolé Karen, j’ai eu un petit moment de faiblesse…— Un moment de faiblesse qui nous coûte cher ! intervint Nooth.— Comment ça ?— Le magasin a été cambriolé ! Toute la recette a disparue, et notre récompense avec. J’étouffai un juron. Ma conscience ...