La perruque ensorcelée (Ep 1)
Datte: 05/07/2017,
Catégories:
Anal
Gay
Transexuels
... boisée, une zone avec des pelouses et un parcours pour les coureurs, et une zone pour les enfants, avec des pleines de jeux, bac à sable, etc.Je commençais le parcours près de la partie boisée, et fit le tour, me vidant l’esprit par la course. Je croisais un autre joggeur, qui me salua avec un grand sourire, puis je sentis son regard sur mes fesses lorsque je le dépassais. Quel con ! On courait tous les dimanches ici, il me croisait tous les dimanches, et c’est la première fois qu’il me dit bonjour ! Et il matte mon cul en plus ! Je chassais vite ces pensées de ma tête, et continuais à courir, essayant de vider mon esprit des pensées lubriques qui revenaient sans cesse. En plus, la course faisait que mon sexe frottait contre le tissu du string, c’était pas évident de penser à autre chose… je finis la première boucle, revenant à mon point de départ et entamais la seconde, me vidant l’esprit… soudain j’entendis un sifflement. Deux jeunes, sur le banc, venait de me siffler. Ils me mataient sans vergogne, j’essayais de ne pas les voir, continuant ma course. A la fin du second tour, ils étaient toujours là, me sifflant. Un blanc et un métis. Le blanc me fit même un clin d’œil ravageur.Ravageur ? Mais non, pas ravageur ! Je fis demi-tour et rentrais vite chez moi. Je bandais de plus en plus, heureusement, je ne croisais personne. Une fois à la maison, dès la porte fermée, je baissais le pantalon du jogging, et me branlais dans le string. J’avais des images salaces pleins la tête, ...
... je revoyais ce type et ces deux jeunes me mater, leurs regard appuyés sur mes seins mes fesses… comme des mains qui me caressent les seins, qui me caressent le sexe, qui me caressent les fesses… des mains, pleins de mains qui me caressent… et dans un râle, je jouis dans le string, avant de m’écrouler sur le sol. Je dû me branler une seconde fois avant d’aller prendre une douche, et je passais le reste de mon dimanche en femme, tentant de ne pas me branler, résistant à la tentation de jouir, regardant de bête émissions TV, mangeant, puis allant enfin me coucher pour me débarrasser de cette bête perruque…Lorsque je m’éveillais le lendemain matin, elle était là, à côté de moi, et j’étais redevenu moi-même… Je me douchais, me rasais, et m’habillais pour le boulot. La journée de travail me permit d’oublier ce qui était arrivé ce weekend, et cela me fit un bien fou. Mais dès que je rentrais chez moi, je ne pouvais m’empêcher de penser à la perruque, à ces sensations de plaisir… Chaque soir je me disais que je devais la jeter à la poubelle, et pourtant elle se retrouvait sur ma tête, j’essayais les différents sous-vêtements qui restaient à la maison. J’appris ainsi à être plus à l’aise avec les soutiens gorge, les jarretières (je me suis branlé deux fois rien qu’en me voyant dans le miroir en jarretière et string assorti, tellement c’était sexy !), les corsets aussi (pas facile à mettre ça !). Il m’arrivait aussi de passer des soirées à naviguer sur le Net, à la recherche de sites ...