1. La perruque ensorcelée (Ep 1)


    Datte: 05/07/2017, Catégories: Anal Gay Transexuels

    ... fus si maladroit, hésitant, que je me pris un râteau. Il allait falloir que je réapprenne à draguer !Le soir donc, je me retrouvais dans ma maison quasi vide, la perruque sur la tête, la nuisette noire sur le corps, me masturbant frénétiquement face à l’écran, où une superbe et plantureuse transsexuelle suçait deux types en même temps, avant qu’ils éjaculent dans sa bouche grande ouverte… je jouis dans ma main. Le sperme était chaud sur mes doigts. Après toutes les vidéos pornos que j’avais vues, une question m’obsédait : quelle sensation procurait une bite bien dure dans la bouche ? Sentir le sperme chaud couler dans sa gorge ? Je portais mes doigts à ma bouche, et pour la seconde fois de ma vie, léchais mon propre sperme tiède, n’en laissant rien sur ma main. Le goût me paraissait déjà moins âcre que la première fois…Le dimanche matin, mon dernier jour dans la maison, je me levais tôt pour terminer les dernières caisses pour le déménagement. Tout était prêt pour le lendemain, j’étais content de moi. J’avais même encore du temps pour mon jogging dominical ! J’allais m’habiller quand je vis la perruque sur le lit. Je n’allais quand même pas réitérer ce qui c’étais passé dimanche dernier ? Je ne voulais pas, les regards de ces hommes sur moi, sur mes fesses… leurs regards pleins de désir et d’envie… je ne voulais pas, mais c’était comme un besoin en moi, comme un appel au plaisir et à la perversité… et me voilà occupé à mettre la perruque sur ma tête… Je mis un string noir, ...
    ... avec des ficelles qui remontent fort sur la taille. Ce n’était pas confortable du tout, mais c’était le dernier qui restait propre de la broîte… tous les autres sous-vêtements féminins que j’avais devaient passer à la lessive ! Je mis mon jogging par-dessus, enfilais mes basket, et me voilà courant sur le trottoir, vers le parc où j’avais l’habitude de courir. En passant devant une vitrine, je vis mon reflet dans une glace… faut dire que j’étais sexy, le survêtement gris laissait deviner les formes de mes fesses, tandis que le haut des ficelles du string se voyaient sur mes hanches au gré de ma course qui faisait se relever un peu le bas le gilet du survêtement. Je n’avais pas mis de soutiens (je n’en avais plus de propre non plus), et mes seins, malgré leur petites tailles, sa balançaient au rythme de la course.J’arrivais au parc, et commençais le parcours. Etant plus tard que d’habitude, je ne croisai pas le type qui avait maté mes fesses avec insistance, et une partie de moi en fut déçu. Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je vais pas devenir exhibitionniste non plus ! Pourtant, la même déception se fait sentir au plus profond de moi en voyant que les deux jeunes ne sont pas là non plus. Il n’y a pas grand monde dans le parc d’ailleurs. Je refais le circuit deux fois, et à la fin du troisième tour, alors que je me disais « encore un et je rentre à la maison », je me fais siffler ! Honteux de sentir que cela me faisait plaisir, que j’en avais des papillons dans le bas ventre, je ...
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