1. Un stage très formateur (4)


    Datte: 30/12/2017, Catégories: Hétéro

    Chapitre 4 : J’attends sa réponse avec plus ou moins d’impatience. Elle tarde un peu à venir. « Je voudrai bien te caresser délicatement du bout des doigts. Elle est très belle et très sensuelle cette photo. Qui l’a prise ? Tu en as d’autres ? » « C’est ce qu’il me faudrait, des caresses.. J’ai hâte de pouvoir y goûter. C’est vrai elle te plaît ? Attends... » … Et je lui en envoie deux de plus, une où je suis sur le ventre, les cheveux en cascades sur les épaules et le dos, avec les reins courbés vers mes fesses bien rondes et charnues.. J’accompagne ces images d’un autre petit messages : « Mon imagination ne m’aide pas à être patiente. J’ai envie de te dire à l’oreille ce qui me passe par la tête en ce moment. C’est indécent... » « Je lécherai avec ma langue chaque parcelle de ton corps. Sois patiente.. Tu voudrais que je commence par où ? » « Je veux prendre ta bouche et l’inonder avec ma langue. Je sentir ton corps d’hommes contre moi, et tes mains serrer mes hanches avec force. Je veux tes mains sur ma peau, qui me caressent doucement. Ta bouche descendre dans mon cou, puis sur mes seins. Je veux avoir le temps de sentir le bas de mon ventre se tremper de désir. Comme il l’était l’autre jour quand on s’est vus. » « Tu es superbe. Il va falloir attendre un peu, mais je te promets que ton désir va pouvoir s’exprimer pleinement. Il n’est pas nécessaire que je te dise que j’ai très envie de prendre tes hanches entre mes mains, te caresser tes jolies fesses avec mes ...
    ... lèvres, de te pénétrer avec ma langue.. Et bien d’autres choses... J’ai envie de te voir te caresser devant moi, faire monter ton désir, avant de participer et te donner le coup de grâce, pour que tout ceci se transforme en exquise coulée entre tes cuisses... » … Je défaillis. Ce mec me rend dingue. Cette attente allongée d’une journée interminable de plus par l’imprévisible hasard n’est à la douleur ce que les années sont au vin : divines tentations, pour un plaisir décuplé, plus tard. Patience. On ne se dit plus rien jusqu’au lendemain. Il travaille toute l’après midi. Je m’endors ce soir là aussi fébrile que la veille. Aussi fébrile que je le suis depuis une bonne semaine. Je ne me touche pas. Je reste sage, je suis tendue par l’envie.. Le sommeil me prend et ne me lâche plus jusqu’au matin. Je me lève vers 10 heure. Ce qui me laisse le temps de trainasser dans mon lit un petit moment, en regardant fourmiller mes pensées dans mon corps détendu pas une longue nuit endormie. Je me lève, petit-déjeune, j’ai le temps de me préparer comme je veux. J’avais dit quoi déjà ? Pas de bas. J’hésite une dernière fois, puis je me décide à les abandonner jusqu’à la prochaine. J’ai une robe noire style patineuse, des collants noirs, des longues chaussettes grises qui remonte juste au dessus de mes genoux. Avec sa, j’ai fait mes yeux de biches, et je mets mon long manteau gris. Assortis à mes chaussettes. Mon chapeau, mes boots Prince de Galle. Mes cheveux sont dociles aujourd’hui. J’ai de la ...
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