1. Un stage très formateur (4)


    Datte: 30/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... chance. Un dernier coup d’oeil dans le miroir, je suis prête. Ah ! Il ne faudrait pas que j’oublie ma paperasse, ce serait le comble. Je la fourre dans mon sac à mains noir et blanc, et je sors, en prenant soin de m’allumer une cigarette pour marcher jusqu’à la gare. Je pense. J’approche. Dans moins d’une heure on sera tout près. Je suis émoustillée.... Je marche, mes jambes frottent l’une contre l’autre. Merde, j’aurai dû mettre des bas. Vu la sensibilité de mon clitoris ça aurait été terrible. Pas grave.. Et puis, on se rejoint au boulot. C’est sûr, ça va être excitant de l’avoir tout près, sachant son excitation et la mienne. Mais lui il sera quand même tenu d’assurer ses fonctions. Et puis il y a du monde, pas sûr qu’on ait un instant de discrétion. Alors je ne m’attends à rien de spécial. Tout ce que je sais, c’est que je vais l’allumer de toutes mes forces. Autant que possible. Je vais plonger mon regard dans le sien avec une intensité telle qu’il passera tout le temps en ma présence, serré dans son pantalon. Je vais le frôler dès que je pourrai, je n’en louperai pas une. Tous mon corps respireras la luxure. Il criera « BAISE-MOI » dans chaque silence. J’en veux, j’en aurai. Je marche. J’arrive. J’entre. Je tombe sur Alex, tout guilleret, qui me claque une grosse bise. Ravie de me voir ! On discute une minute, je lui explique, les papiers, tout ça tout ça.. Je passe le hall, je suis face à face avec Karl. Demi sourire de garce, regard appuyé, je m’avance jusqu’à lui. ...
    ... Il m’embrasse sur les deux joues, sa mains sur mon épaule se veut très, très présente. Je salue le reste de l’équipe, mon paquet de paperasse à la mains. On s’assoie à la même place que l’autre jour. Cette fois, il ne se mettra pas en face. Mais juste à côté de moi. Je retire mon long manteau. Ironie de la chance, remplir un bilan de stage c’est long.. ça prend du temps et il y a plusieurs pages. Je n’avais pas vraiment regardé, on en prend conscience ensemble. - « Eh ben, on dirait que ça va nous prendre un moment cette histoire.. On dirait que oui. J’ai tout mon temps. » On s’y met. Il se penche sur la feuille, regarde autour de lui, et je sens sa jambe gauche se presser contre la mienne... A mon tour je lève les yeux, personne ne fait attention à nous. J’apprécie ce contact, la chaleur de sa peau à travers le tissu. Il ne me regarde pas, il fait mine de se concentrer sur mes papiers, il faudra bien les remplir. Moi je l’observe, je le trouve beau. Ses mains sont belles. Des mains d’hommes, belles. Ses doigts me plaisent. Je les imagine se promener sur moi. Se glisser entre mes cuisses qui sont si proche. Je l’imagine planter ses doigts dans mon ventre trempé. .. Et je le sens. Ça y est je mouille. Je me serre d’avantage contre lui, j’approche mon visage, lit ce qu’il écrit, et je glisse ma main sous la table, je la pose sur sa jambe, toujours collée à la mienne. Il se redresse, cesse d’écrire. Il jette à nouveau un œil autour de nous, rien à l’horizon, il me regarde, et ...