1. Mon service dans le XVIème (1)


    Datte: 31/12/2017, Catégories: Transexuels

    ... sous “discrète surveillance”. C’est normal : c’est ma première journée de travail chez Madame et Monsieur. Je m’applique en faisant attention de ne rien renverser. Madame semble satisfaite de mon travail. Je me demande ce qu’elle ressent lorsqu’elle me voit travailler ainsi vêtue à son service ? Elle réalise une partie d’un fantasme ? Ou celui de son mari ? Serai-je un jour convoitée par elle comme les hommes convoitent un jour ou l’autre leur employée de maison ? Pour le moment, elle ne laisse rien paraître. Je suis en période d’essai pour 2 semaines, le but pour moi est de rester dans cette maison qui me plaît bien. Les jours passent et je commence à me faire à cette nouvelle vie. Chaque matin, j’arrive naturellement en garçon chez mes employeurs et travaille à leur service en fille la journée. Le soir, je remets mes habits masculins et retrouve mon identité, mes amis, ma famille. A ceux qui m’interrogent sur mon nouveau job, je leur réponds presque la vérité : Je suis entré au service d’un couple dans le XVIème arrondissement de Paris. Ce que je ne leur dit pas, c’est que je travaille habillé en femme, 8 heures par jour (pour mon plus grand plaisir). Pour le moment, mes relations avec Madame et Monsieur ont été uniquement professionnelles. Mes seules émotions sont liées à la vue et au parfum quotidien des dessous de Madame, que je lave avec précaution et que je range parmi les sous-vêtements en soie, satin et dentelles sur les étagères. CONFIRMATION Ma période d’essai ...
    ... s’est bien passée, Madame m’a dit ce soir qu’elle me gardait à son service. J’en suis ravie et la remercie poliment. Elle m’a demandé si j’acceptais de travailler de temps en temps le soir, pour le dîner. Les bonnes conditions de travail, l’assouvissement de ma double-identité et le salaire correct me motivent pour répondre favorablement. — “C’est parfait” répondit-elle, “prévoyez de rester mardi soir, vous préparerez le repas et assurerez le service. Mardi, après avoir commencé un peu plus tard que d’habitude, je reste donc après 18 heures pour mon service. Monsieur rentre vers 20 heures, le dîner et la table sont prêts, je vais dans la petite chambre afin de m’apprêter un peu. Je porte une de mes tenues habituelles et me suis laissé un peu pousser les cheveux ces dernières semaines ; cela entretient mon côté féminin… Madame m’appelle de sa chambre : — “Venez m’aider à fermer cette robe s’il vous plaît ! » C’est la première fois depuis que je suis à son service, qu’elle m’autorise à l’approcher de si près. Elle est devant son miroir et a passé une robe noire de style Courège très « classe » qui dévoile ses épaules. Ses jambes sont gainées de nylon couleur chair et elle porte des escarpins à talons hauts. La vue est troublante : Madame est face au miroir et la fermeture éclair de sa robe descendue jusqu’au bas du dos. La vision de sa peau ainsi partiellement dévoilée est d’un érotisme suggéré… Le fait-elle volontairement ? Le haut d’un porte jarretelle en dentelle noire apparait, ...
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