1. Mon service dans le XVIème (1)


    Datte: 31/12/2017, Catégories: Transexuels

    ... bien visible, remontant bien sur les hanches. J’en déduis que ce sont donc des bas que Madame porte ce soir. Je referme délicatement la fermeture éclair et m’autorise un compliment : — “Madame est très élégante” — “Merci » me répondit-elle « j’espère que Monsieur appréciera”, — “j’espère également Madame”. 1ère SOIRÉE Monsieur arrive à 20 heures comme prévu, et passe à table avec Madame. Monsieur a remarqué que Madame a passé une de ses plus belles robes. — “Hum, tu es superbe, tu as quelque chose de particulier à négocier ce soir ? lui dit-il. — “Non, c’est simplement que j’avais envie de me faire belle pour toi” Je commence mon service pendant que mes employeurs parlent de leur journée. Je m’efforce d’être une employée modèle. — “Depuis combien de temps êtes-vous à notre service maintenant” ? me demande Monsieur. — “Un mois” répondis-je. — “Et elle nous donne entière satisfaction” dit Madame. — “C’est bien. Je suis très satisfait que vous ayez accepté de rester à notre service dans les conditions particulières que nous avions fixées” dit Monsieur. — “J’en suis également ravie” lui dis-je, “je souhaite que mon service continue de vous apporter la plus grande satisfaction”. — “Nous le souhaitons également” dit Madame “et nous allons vérifier ce soir si vous pouvez peut-être nous satisfaire davantage…” Sans comprendre le sens de cette réponse, je poursuis mon service. Pendant que je sers, Monsieur effleure discrètement mes jambes avec ses mains. C’est la première fois ...
    ... qu’il s’autorise un tel geste. Je ne dis rien et Madame ne semble ne rien voir. Je dois avouer que cela est plutôt coquin de se laisser approcher par son patron comme une jeune femme. Je ne proteste pas et prends mon temps lorsque je passe près de lui. Au moment de servir le dessert, je sens sa main droite monter discrètement sous ma jupe le long de mes jambes et caresser le nylon des collants sur mes cuisses. Cela ne dure qu’un instant mais a l’effet de faire légèrement gonfler le tissu de ma culotte. Je cache en effet, comme vous vous en doutez, sous mes dessous un “clitoris” plutôt sensible aux caresses. Madame et Monsieur me demandent alors de servir le café au salon. Installés face à face dans de confortables fauteuils, Madame et Monsieur savourent leur café. — “J’ai fini mon service, puis-je m’en aller ou avez-vous encore besoin de moi” ? — “Restez encore”, me dit Madame, “nous avons besoin de vous. Surtout Monsieur” — “Bien Madame”, “Que puis-je faire pour Monsieur” ? “ — Je pense qu’il est temps de passer à la deuxième phase de votre service chez-nous” dit Madame. — “Accepteriez-vous d’entrer dans une forme de service plus “intime” ? — “Qu’entendez-vous par “intime” demandai-je ? — “Nous aimerions, de temps à autre, que vous acceptiez, sans contrainte, de satisfaire nos envies charnelles, sensuelles. Voyez-vous de quoi je veux parler ?” — “J’imagine, Madame” J’attendais qu’un jour ou l’autre cette question me soit posée. On ne recrute pas un jeune homme, qui accepte de ...
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