Moi, Florence
Datte: 31/12/2017,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
grossexe,
forêt,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
... de mon collègue. J’avais joui sans rien toucher d’autre que ma poitrine, à travers le tissu de mon corsage… rien qu’en imaginant ce membre impressionnant en moi. Quand Patrick m’a proposé de ne pas déjeuner au restaurant d’entreprise, mais d’aller faire un tour, j’ai accepté, toujours émoustillée par ce que j’avais vu deux heures auparavant. Je me doutais bien que nous n’allions pas aller manger. À peine dans la voiture de Patrick et sortis du parking du boulot, j’avais débraguetté le pantalon de mon chauffeur. J’avais extrait le membre qui durcit rapidement. La queue de l’étalon avait jailli sous mes yeux. Les vingt-deux centimètres de chair tendue étaient maintenant à proximité immédiate de ma bouche. Mouillant comme jamais, j’avais d’abord branlé longuement l’engin, appréciant en connaisseuse ses dimensions. J’avais dû utiliser mes deux mains pour le caresser complètement. Puis je m’étais penchée vers son entrejambe, après avoir détaché sa ceinture, approchant ma bouche de la tige dure. J’avais ensuite léché et sucé le gland, puis le membre. Je l’ai pompé avec fougue. Mais, malgré ma bonne volonté, j’arrivais à peine à en prendre la moitié en bouche. Quand Patrick s’arrêta en bordure d’un chemin désert et descendit de la voiture, il était à point et voulut me prendre. Sa queue d’étalon dure et raide entre les jambes, il me dévorait des yeux. Je lui dis que ce n’était pas la bonne période du mois. Mais j’avais monstrueusement envie de lui et lui aussi. Nous connaissions ...
... la solution, sans rien dire, tellement elle était évidente. Comme nous étions amis intimes et que nous nous racontions des tas de choses, nous avions déjà échangé sur nos goûts sexuels réciproques. Patrick savait que j’avais une préférence pour la sodomie. Et je savais que Patrick aimait cela aussi. Je me retrouvai jupe relevée, slip ôté, penchée en avant, le gland de Patrick posé au bord de mon anus. Il appuya avec son gros gland contre mon petit trou. J’avais déjà pris des gros calibres dans les fesses mais jamais un tel engin. Patrick dut s’employer et « appuyer » fortement son gland contre mon petit trou pour le pénétrer. Son sexe força finalement le passage. Et il s’enfonça en moi… J’en avais presque le souffle coupé. Je sentais la queue de Patrick remplir mes fesses. Les vingt-deux centimètres de l’homme, qui avaient déjà distendu ma bouche, pourfendaient mon anus, le distendant complètement, lui qui était pourtant très accueillant. J’avais un fessier très, très accueillant. Et j’étais très, très excitée. Mon postérieur « s’adapta » rapidement à la taille gigantesque du membre qui me possédait. Je le reçus entièrement en moi, planté au fond de mes fesses, ahanant de plaisir. En même temps, je me sentais remplie comme jamais par ce pieu énorme qui taraudait mon cul. Patrick remuait en moi, entrant et sortant maintenant entièrement son sexe de mon anus, m’arrachant des cris de plaisir rauques à chaque fois qu’il replongeait en moi. Mes fesses étaient « ouvertes ». Jamais ...