Moi, Florence - Histoires de Sexe

Moi, Florence

... les fesses sur le levier de vitesse de ma voiture. Le levier rentra sans difficulté dans mon anus dilaté. Je me mis à monter et descendre sur l’engin, me sodomisant sans vergogne. Je sentais le plaisir monter en moi à chaque fois que je redescendais sur le pieu qui était à peine plus large que la queue qui m’avait fait tant jouir juste avant. Alors que j’étais toujours en train de m’auto-enculer, je vis la voiture qui était garée un peu plus loin. Plus exactement, je vis un détail de la voiture : la boule de caravane à l’arrière. Mon sang bondit ! Je me dégageai du levier de vitesse et sortis de mon véhicule après avoir vérifié qu’il n’y avait personne. Je devais faire attention, malgré mon désir et mon excitation. Certes la nuit tombait, mais j’étais à moitié nue, et ne portait juste que mon corsage et mon soutien-gorge. Je me dirigeai, presque nue, vers l’autre véhicule, non sans avoir pris un préservatif dans mon sac à main. Je me baissai et habillai la boule de la voiture avec le préservatif. Elle était plus grosse que le levier, mais cela devait passer, me dis-je, toute émoustillée. Puis je me tournai et m’agenouillai au-dessus de l’attache de caravane, vérifiant une dernière fois qu’il n’y avait personne dans les parages. Je sentis le froid du métal à travers le caoutchouc quand je m’assis sur la boule, cette dernière commençant à ouvrir mes fesses. Je me laissai descendre lentement, sentant la boule ouvrir encore plus mon petit trou. Puis d’un coup, je me retrouvai ...

... avec le globe en moi, empalée dessus, la boule à l’intérieur de mon cul. Je me mis alors à aller et venir sur l’engin, d’abord doucement, la boule au fond du cul. Puis j’amplifiai le mouvement, en ressortant complètement la boule de mes fesses pour me rasseoir aussitôt dessus. Je me sodomisai avec force et sentis le plaisir monter en moi. J’avais chaud. J’ouvris mon corsage, l’ôtai et le jetai au sol. Puis je défis mon soutien-gorge qui rejoignit le corsage, libérant ma lourde poitrine aux pointes tendues et dures. J’avais besoin de respirer et de jouir. Et j’étais maintenant entièrement nue. Un voyeur qui serait passé par là aurait vu une femme, la chatte et ses gros seins à l’air, s’enculer sur une boule de caravane, en plein milieu d’un parking. Je jouissais. Je montais et descendais sur le pieu de métal, mes seins lourds et durs suivant le même mouvement. Mon manège dura près de dix minutes avant que je n’aie un nouvel orgasme fulgurant. Calmée et essoufflée, je me retirai de la boule et me relevai. Puis je regagnai ma voiture, toujours nue, après avoir ramassé mes vêtements. J’étais toujours excitée, car j’étais nue et offerte dehors. Je sentais mes fesses me brûler tellement elles étaient ouvertes et défoncées. Je restai un moment nue à côté de mon véhicule, imaginant des voyeurs qui se rinçaient l’œil, me caressant doucement sur tout le corps. Le plaisir me saisit encore, et j’eus un orgasme juste en me caressant, nue à côté de mon véhicule. Je me rhabillai enfin et ...