1. Xanths (8)


    Datte: 01/01/2018, Catégories: Hétéro

    ... sexe : prenez-le dans votre main. Allez-y, n’ayez pas peur. Voilà. Fahra est rouge comme une pivoine. Elle serre comme elle peut la chose dans sa main. L’Obake attrape la pointe de ses seins entre ses doigts squelettique : elle n’ose pas bouger, cherchant à faire honneur à la mémoire de son père. Après tout, celui-ci avait sacrifié son amour à son égard pour la donner en mariage, pour son propre bonheur : elle est tout émue, les larmes lui montent. — Voyons, mon enfant. Il est inutile de vous mettre dans des états pareils. Vous connaîtrez des plaisirs qui dépasseront vos peurs dans très peu de temps. Faites-moi confiance et laissez-vous aller : je suis sûre que vous en ressentez l’envie. Et pourtant non. Xanths est un continent où la magie gouverne et oriente toute forme de vie. Les plaisirs charnels sont au cœur de son action. Mais les marquées fonctionnent légèrement différemment : elles ne sont pas du tout concernées par ses effets, leur hymen étant encore intact. Fahra est en théorie hors de portée de la magie de Xanths, mais son éducation a été partielle, concernant les choses de l’amour : elle en ignore tous les secrets. Ajoutez à ceci un manipulateur tout à fait à l’aise dans son rôle, et la jeune femme ne se retrouve plus en mesure de résister à son prédateur, dont elle ne soupçonne même pas l’existence. — Je ne sais pas. Je vous assure que les choses de l’amour me sont étrangères. — Croyez-moi, mon enfant, plus pour très longtemps. Je vais vous apprendre. ...
    ... Voulez-vous que je vous apprenne ? Voulez-vous faire honneur à votre père ? — Oui… L’Obake sourit : il a remporté son paris, la jeune femme lui appartient ; et maintenant elle va s’offrir complètement. Il passe ses mains le long de son corps, et la relève : debout, elle fait presque une fois et demi sa taille, alors il se redresse comme il peut. Il passe la main sous ses seins, les soupesant. Ils sont très fermes, et Fahra se sent tout à fait exposée et gênée par le fait de se faire toucher au milieu de la nuit et de la nature. Mais elle ne dit rien, bien décidée à honorer son père : sa volonté est si forte qu’elle doit se mêler à son instinct de survie, inconsciemment. — Allongez-vous sur le sol. Je ne tiens pas à vous faire attendre. Elle obéit, docile. L’Obake se place à genou entre ses cuisses, avant de s’en emparer : il les replie sur elles-mêmes, exposant la fleur de sa proie. Sa queue grossit, du mieux qu’elle peut. Fahra sait ce qui l’attend : même en ne sachant rien des choses de l’amour, l’être humain est instinctivement porté à se reproduire. Elle préfère regarder ailleurs, par crainte. Alors elle lève les yeux vers la lune, haute dans le ciel, ses deux pieds encadrant le paysage lunaire. L’Obake a un rire gras. Il ne peut s’empêcher de trépigner d’impatience : son vieux corps se bouscule, et il a du mal à garder sa métamorphose : son vieux corps s’excite, se rétracte, et se comprime. Il place son gland sur la fleur de sa proie, et ressent tout de suite un fort afflux ...
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