Trithérapie
Datte: 05/07/2017,
Catégories:
hhh,
inconnu,
grossexe,
plage,
Oral
hdanus,
hsodo,
Gay
... j’apprivoise les grosses lorsqu’ils me prennent les toutes premières fois. Je guide sa queue en moi et me laisse lentement glisser sur elle. Son gland passe sans aucune difficulté même s’il est plus large que celui de son collègue. Par de longs mouvements de bassin, il m’investit à chaque fois plus avant. C’est cela que j’adore avec les très grosses queues : avoir l’impression que mon ventre s’ouvre au-delà du raisonnable. Sa hampe s’élargit dès le premier tiers, me faisant frissonner en repoussant mes limites. Cela fait très longtemps que je n’en ai plus pris d’aussi imposantes. Alors cette nuit, je m’éclate, à tous les termes du sens, mettant un gros coup de canif dans ma relation amoureuse. Luc est revenu. Assis au bord du lit, il nous observe en souriant. Il a déjà joui par deux fois, une pause ne le frustrera pas trop. Manu joue de ses reins autant que moi du bassin pour gagner du terrain. Je le sens me déformer à son passage, cette très grosse queue comprime ma prostate pleine de deux jours d’une totale abstinence. Comme je suspends ma progression quelques instants pour souffler, il agrippe mes fesses à pleines mains pour me sodomiser tout doucement, ne cherchant absolument pas à rentrer davantage, bien au contraire. Les mots sortent seuls de ma bouche. Des qualificatifs adaptés à son sexe, quelques superlatifs concernant les sensations qu’il me procure. J’attrape ma verge à demi bandée qu’aucun des deux ne cherche à satisfaire, de mon autre main, ce sont ses belles ...
... bourses que j’étreins, reprenant lentement ma danse du ventre. Plus je me redresse, plus mon ventre ressent la puissance de Manu. Mon esprit se trouble de tous ces flux sensoriels agissant directement sur mon cerveau. Alors qu’il me possède aux deux tiers, je me retrouve sans tout comprendre sur le dos. Léger comme l’air, souple comme un chat, seul son sexe semble être en contact avec moi. Sa possession est absolue, sa verge est un vérin coulissant merveilleusement dans son cylindre. Il est gros, mais bouge avec tant d’habilité ! Cette massue, je la désire de tout mon être. Luc revient se placer dans ma bouche et Manu pose maintenant ses couilles contre les miennes, tellement enfoncé qu’il me semble qu’ils se rejoignent ! Sans à-coup, il me saute très bien. Dans l’euphorie, je suis conscient de ma veine, je dispose de deux belles queues dont ils savent très bien se servir. En bons baiseurs, les changements de position s’enchaînent régulièrement et rare sont les fois où il sort de mes fesses. Je suis étonné du self-control de mon portugais. C’est le genre de mec qui décide quand il doit jouir. Il s’allonge maintenant à côté de moi. L’infirmier bande dur, j’ai parfois du mal à le garder en bouche lorsque son acolyte accélère la cadence, mais il ne s’en plaint pas vraiment. Il en profite pour me demander si j’aime, si je regrette d’être là, si j’en veux encore. Je ne suis plus allongé, je flotte entre le matelas et le plafond. Manu joue de sa queue toute la gamme du plaisir. Le feu ...