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La gêne et le plaisir - Partie 7
Datte: 03/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme
... détacher mon bâillon et me menotter les mains par derrière. Je commençais à me lasser de toutes ces manies de dominant. Il me retira aussi ma ridicule coiffe de soubrette et mes grelots, et vint me bander les yeux. Plongée dans le noir, mon sens du toucher se développa davantage. Il me nourrit cuillère par cuillère, s’amusant à me caresser et me surprendre à chaque instant. Après avoir finit mon assiette, je sentis ses mains descendre dans mon décolleté et se saisir de mes seins pour les pétrir. Je laissais aller ma tête en arrière et ondulais des hanches pour faire bouger les boules de Geisha dans mon vagin. - Tu as bien travaillé, petite chienne. Tu apprends vite, murmura-t-il. Il baissa le haut de la robe sous mes seins et coinça le jupon dans l’élastique de la taille, puis me fit lever en me guidant. J’avançais, aveuglée, les seins nus et la jupe relevée. J’attendis quelques minutes dans le hall d’entrée, incertaine de ce qu’il allait faire de moi. Soudain il était de nouveau derrière moi. Il glissa sa main dans ma culotte et malaxa intensément mon clitoris. - Dis-moi que tu vas signer le contrat, me dit-il. Je sentais son souffle saccadé dans mon cou. Je ne préférais pas répondre. - Allez, dis-le… je sais que tu en as envie. N’aie pas peur, je serais un bon Maître. Tu me fais déjà tellement confiance… pourquoi tu ne tentes pas l’aventure ? Le souffle court, je trouvais le moyen de dire un « Non ! » ferme. Il s’arrêta brusquement et s’écarta de moi. - Mets-toi à genoux ...
... et pose la joue sur le sol. - Quelle joue ? demandais-je. - Peu importe, dit-il d’un ton sec. J’obéis en tremblant. Il releva la robe, baissa ma culotte… et m’appliqua une énorme fessée. Je poussais un cri de douleur. - Pourquoi ?! m’offusquais-je. - Pour tes oublis de ce matin et ta mauvaise volonté pendant le ménage. Je me tu et attendis la suite. Il ne me refrappa pas. Il me détacha, me retira mon bandeau et me laissa me rhabiller. - Va dans ta chambre, reste en position de soumission jusqu’à ce que je vienne te chercher. Je montais péniblement les escaliers. J’allais dans ma chambre, dont je claquais ostensiblement la porte dans un geste de colère, retirais le déguisement stupide, enfilais mon pyjama et allais m’assoir à ma fenêtre, genoux contre poitrine, le visage tourné vers l’extérieur. Je ressassais ma colère, regrettant d’avoir tenté une telle aventure avec lui, et d’avoir perdu mon temps ainsi. Il vint une demi-heure plus tard et sembla surpris de me trouver en train de lui désobéir. - Qu’est-ce que tu fais ? - Dégage, lui ordonnais-je. Il resta dans l’embrasure de ma porte, muet. - Dégage, je te dis, insistais-je en haussant le ton. - Je suis désolé, je n’ai pas été juste, s’excusa-t-il. - Je m’en fous, t’es un con, un égoïste. Depuis le début y avait que ton petit plaisir personnel qui t’intéressait. - C’est pas vrai, dit-il en venant s’assoir à côté de moi. Bien sûr que je me suis amusé, mais tu ne m’aurais pas suivie plus de dix minutes si je n’avais pas cherché ...