1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°893)


    Datte: 03/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°892) – Le lendemain à 6h00, ce fut un soumis qui vint me réveiller en tirant sur ma laisse. Sachant que nous n’avions pas le droit de parler entre nous, je le suivis sans un mot. Ayant un rdv professionnel, j’avais droit à la douche dans la salle de bain commune, et pas juste au tuyau d’arrosage dans les écuries. Cela dit l’eau était tout aussi froide, et je me lavais rapidement. Avant d’avoir droit de me doucher, le soumis me pratiqua d’abord trois lavements anaux. Un aurait suffi, mais il avait sûrement reçu des ordres. Personne ne m’avait parlé de déjeuner. Et le Maître avait dit de Le rejoindre dès la douche finie. Alors, malgré un estomac réclamant pitance, je partis en quadrupédie vers le bureau du Maître. Je rentrais sur Son ordre. - Bien, tu es à l’heure ! Va t’empaler sur ta chaise, le dossier est sur ton bureau. Tu n’as pas de temps à perdre ! Je te rappelle que les clients arrivent à 9h, et que tu n’as pas le droit de te vêtir tant que tu n’en auras pas reçu l’autorisation. À 8h30, tu viendras te prosterner à Mes pieds, et je verrais ce que tu auras retenu. Ne me déçois pas ! Je ne veux pas que d’importants clients puissent penser que j’emplois des incapables ! Je m’installais donc, en poussant un soupir de légère douleur et de grande excitation en m’empalant sur le plug vertical qui sortait de ma chaise de bureau. Je n’avais pas remarqué qu’il y avait de légères différences entre la chaise sur laquelle j’étais ...
    ... assise et celle que j’avais toujours eu depuis que j’occupais ce poste. Alors que cela devait faire une demi-heure que je travaillais sur le dossier, je réprimais avec grand peine un hoquet de surprise. Le plug, enfoncé profondément dans mon cul s’était mis à vibrer. Au bout de cinq minutes, il s’arrêta. Je repris alors mon travail, mais dix minutes plus tard, il se remit en marche sur une autre vibration. Ma séance de travail se poursuivit jusqu’à 7h30 comme cela, à avoir le cul qui vibrait pendant cinq minutes à intervalle de dix minutes. À 7h30, je restais tranquille durant un quart d’heure. Je crus que j’allais pouvoir travailler sans perturbation, mais j’eus la surprise, sans réussir à décider si ça en était une bonne ou une mauvaise, de sentir le plug se rétracter puis se renfoncer dans un mouvement vertical et régulier de bas en haut et de haut en bas. Il me semblait même qu’il s’enfonçait de plus en plus profondément. Je gémissais doucement, n’étant pas sûre d’être autorisée à exprimer mon excitation. Je jetais un œil vers le Maître, que je voyais de dos et qui semblait imperturbable et ne pas se rendre compte de mon état. J’essayais tant bien que mal de me concentrer sur mon dossier, il me restait pas mal de choses à voir, mais cela n’était pas facile de retenir des informations, de se concentrer, alors que je me faisais défoncer le cul par un plug en plastique, qui variait de vitesse et se remis à vibrer pendant qu’il me baisait. Mon plaisir grandissait, mes yeux se ...
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