La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°893)
Datte: 03/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... troublaient. Je n’étais pas loin de jouir. Je ne contrôlais plus mes gémissements. Et alors que j’étais à deux doigts de basculer, tout s’arrêta. J’eus de la peine à retrouver mon souffle. Et il fallut que je me remette très rapidement au travail car il ne restait que peu de temps avant l’interrogation du Maître. Quand l’horloge m’indiqua qu’il était l’heure, je Le rejoignais à quatre pattes et me prosternais à Ses pieds. - Eh bien Ma chienne ! Tu es drôlement bruyante lorsque tu travailles. La prochaine fois, tu t’arrangeras pour être silencieuse, tu M’as empêché de me concentrer sur Mon travail, dit-Il, l’air le plus sérieux du monde. Cependant, je réussissais à répondre sans le moindre souci aux différentes questions du Châtelain, m’évitant ainsi une volée de coups de badine. L’heure avançait, et malgré cela, Il ne m’ordonnait toujours pas d’aller m’habiller. Au contraire, Il exigea que je passe sous le bureau pour Lui faire la meilleure fellation dont j’étais capable. Et il se vida rapidement dans ma bouche, puis m’ordonna de rester à quatre pattes à l’endroit où j’étais… Au moment où le gong sonna 9h, on frappa à la porte du bureau. Je ne bougeais pas, paralysée à l’idée que ce soit les clients qui arrivent et qu’ils puissent me voir malgré que le fond du bureau fût fermé. Après l’invitation du Maître à entrer, Walter se présenta, effectivement accompagné des deux hommes avec qui nous avions rdv. J’avais peur qu’Il ne m’ordonne de sortir de ma cachette à ce moment-là. ...
... Mais après les premières phrases de politesse, Il demanda à Walter de les conduire au petit salon pour plus de convivialité. À peine furent-ils sortis, qu’Il me sortit de mon antre en tirant sur mon collier. - Bien tu vas attendre que je sois sorti, tu vas te vêtir et tu nous rejoindras. Tu es Ma secrétaire particulière mais tu vas aussi jouer le rôle de serveuse. Tu resteras debout à coté de mon fauteuil, légèrement en arrière. Tu obéiras au moindre ordre qui te sera donné, par qui que ce soit, sans broncher, sans hésiter. Attention, Ma chienne, je veux être fier de toi ! Si quelque chose se passe mal, tu le regretteras, crois-Moi bien là-dessus ! Et il partit sans se retourner. Je trouvais étrange ces recommandations, mais je me dépêchais de prendre les vêtements dans l’armoire, un tailleur jupe bleu roi. Mais aucun chemisier, et évidemment aucun sous-vêtement. La veste se fermait en me moulant la poitrine sur un joli décolleté. Il faudrait que je fasse attention à ma façon de me pencher si je ne voulais pas que tout le monde puisse admirer mes seins. Puis je me dirigeais debout vers le salon. Le Maître n'avait pas précisé la position dans laquelle je devais arriver, mais je me serais mise en quadrupédie j'aurais risqué d'abimer le tailleur… Je frappais à la porte et sur l'injonction du Maître, je rentrais dans la pièce. Les deux hommes présents à Ses côtés étaient grands et avaient à peu près une quarantaine d'années. Je les saluais pendant qu'Il me présentait et j'allais me ...