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Le joli mois de mai. 8 ème Partie
Datte: 04/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... je le vois disparaître inexorablement. Je me remémore les sensations éprouvées la semaine dernière quand je l’ai prise ainsi avec Stéphane et ce souvenir m’excite au point que je commence à me caresser. Mon trouble semble gagner Louise qui elle aussi assise dans le voltaire posé à côté du mien commence à se masturber avec un des sex-toys posés sur la table basse. De l’autre côté du miroir, se sentant peut-être délaissée, Corinne s’approche en rampant de son mari et lui présente son sexe en le posant sur son visage tout en faisant face à Christelle. Toutes les deux s’embrassent avec gourmandise, leurs langues tournoyant en une folle sarabande. À voir les ondulations de son corps, les soins que lui prodigue Pierre ne laisse pas la jolie blonde insensible. Les deux femmes se montrent très sensuelles dans leurs attentions à l’autre, leurs mains se touchent, leurs cheveux se mélangent quand elles s’enlacent. Pendant ce temps David continue à sodomiser ma femme consciencieusement et Pierre marque un temps d’arrêt dans ses va et vient. Il s’attarde visiblement plus sur le sexe de sa compagne qui commence à onduler sur sa bouche de plus en plus vite jusqu’à ce qu’elle jouisse en manifestant son plaisir par un mélange de plainte, de gémissement et de cri aigu. Reprenant de plus belle son activité, Pierre se cale sur les mouvements de l’étalon qui fouille Christelle face à nous. Je me branle de plus en plus vite moi aussi et nous jouissons tous les trois juste après Christelle. David ...
... d’abord s’est extrait du piège où il s’agitait et se répand sur le dos de ma femme redressée dans son propre spasme. Je vois Pierre se contracter ensuite jusqu’à soulever Christelle, agitée de soubresauts incontrôlés. Je les rejoins moi aussi en me vidant sur le visage de Louise qui entre temps ne voulait pas perdre une goutte de tout mon sperme. Retombant épuisés sur le lit, tous les quatre se remettent de leurs émotions. Nous voyons, Louise et moi leurs poitrines se soulever, cherchant l’air qui leur manque. Essuyant son front perlant de sueur David, répète sans cesse : « My God ! It was so good ! ». Tandis que Pierre et Corinne s’embrassent avec une tendresse mêlée d’érotisme, leurs langues se cherchant et se trouvant alternativement entre leurs lèvres entrouvertes. Abandonnant le lit le bel étalon noir la queue encore superbe, se dirige vers la table basse et se sert un verre. Retirant délicatement son préservatif plein de sperme Pierre roule sur le côté et le rejoint. Les yeux dans le vague, ses seins superbes montant et descendant au rythme de sa respiration, ma femme les suit du regard et pose une main entre les cuisses de Corinne, comme pour sentir sur le sexe encore chaud de son amie les vagues de chaleur qui les ont emportées toutes les deux. - « Elles sont vraiment très belles » me dit Louise. - « Oui ! » me contenté-je de répondre, perdu dans mes pensées où les images de ces deux sexes d’hommes qui fouillaient ma femme se heurtaient aux cris, et aux soubresauts ...