1. Le joli mois de mai. 8 ème Partie


    Datte: 04/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... qu’elle ne contrôlait pas quand elle s’abandonna au plaisir. Pour la première fois je voyais ma femme jouir sans moi. Lors de notre week-end avec Seb et Lisa, ils avaient fait l’amour de leur côté, mais seuls leurs cris et leurs râles m’étaient parvenus. Lorsque nous avons baisé tous les trois, pour sa première double pénétration nous vivions notre fantasme commun, ce soir pour la première fois elle a joui de se faire prendre et je n’étais pas prévu dans son programme. Louise ressent mon trouble et me propose de passer à autre chose. Fine mouche, elle me demande de la suivre. Les cheveux encore en bataille, mais le visage essuyé de mon foutre, ma partenaire du soir, me fait un clin d’œil plein de malice et de mystère. D’un geste très féminin, elle réajuste sa robe et me dit, tournée vers la porte : - « Suis-moi ! » Je jette un dernier regard en quittant la pièce. Derrière le miroir sans tain, le lit est vide, ma femme a disparu de mon champ de vision. Le temps de me réhabituer à la lumière du couloir, je fixe les courbes de Louise devant moi, légère, ses pieds nus ne semblent pas toucher le sol. Elle glisse sur la moquette épaisse, laissant derrière elle des effluves de parfum dans un bruissement de soie. Combien sommes-nous ? Tout autour de moi des hommes et des femmes forniquent. Quelques-uns qui m’ont été présentés et d’autres, inconnus. Jeunes, vieux, beaux ou laids s’embrassent, se caressent, font l’amour partout. Dans la pénombre je distingue bien maintenant leurs ...
    ... corps, leurs gestes, je surprends des regards, j’évite des couples enlacés, je frôle des mains, des bras m’agrippent. La musique couvre mal les gémissements, les cris de ceux qui baisent et les commentaires des voyeurs. Arrivés dans une vaste chambre, une mise en scène étonnante, est en train de se mettre en place. Sous les ordres de Nicolas, deux messieurs bandent les yeux de plusieurs femmes complètement nues. Dociles, certaines attendent leur tour, les yeux déjà fermés, quand d’autres visiblement excitées s’agitent comme des ados lors de leur première boum. Le contraste est d’autant plus saisissant que certaines ont plus que dépassé l’âge de jouer aux midinettes. Nouant les bandeaux de soie noire, les deux mâles, ne se gênent pas pour s’immiscer entre les cuisses de ces futures proies, soupesant un sein ou flattant une croupe. Au fur et à mesure, elles sont isolées des autres, poussées vers le lit immense qui trône au milieu de la pièce. Quatre y sont déjà, et autant attendent encore d’être livrées à la merci de ce que je crois être leurs maîtres. En se rapprochant de moi, Louise me dit : - « Tu vas aimer ! » Lorsque je perçois parmi l’assistance un mouvement, je comprends alors que, ces femmes vont se donner à tous ceux qui voudront les prendre. Elles sont huit, nues, les yeux bandés, assises au bord du lit qui en devient presque petit. Les mains sagement posées sur leurs cuisses elles patientent, attentives aux sons et aux mouvements autour d’elles. Leurs têtes suivent les ...
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