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Le joli mois de mai. 8 ème Partie
Datte: 04/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... se sent lui aussi prêt à succomber il se retire, repose les pieds au sol et, en se finissant lui-même, il se vide sur ces fesses dans de longues saccades. Sa partenaire essoufflée reste immobile ainsi quelques secondes et finit par s’asseoir la poitrine soulevée par de grandes respirations, la bouche ouverte. En se relevant, elle retire son bandeau et semble rechercher son amant mais l’homme a disparu dans la foule des voyeurs. Son regard trouve alors celui de sa sœur. Elle lui sourit puis son regard croise le mien. Comme si nous voulions les rattraper tous les deux nous nous caressons Louise et moi en cherchant à jouir vite. Nos doigts savent comment faire pour hâter le moment où nous ne pourrons plus nous retenir et nos mouvements se font plus précis. Cette fois c’est Louise qui me devance et son plaisir déclenche le mien presque instantanément. En se mordant la lèvre inférieure, elle se détend après cet orgasme express et relâche la pression de ses doigts sur mon sexe qui encore dur vient d’envoyer un geyser de foutre vers sa sœur qui vient à notre rencontre. Malgré le côté trivial de la scène elle a beaucoup de ...
... classe quand elle attrape une lingette et s’en essuie les fesses sur lesquelles les traits clairs du sperme de son amant dessinent comme des coups de fouets sur sa peau bronzée. Elle s’approche de nous et dans un sourire me dit : - « Ça vous a plu ? » Ces yeux sont aussi expressifs que ceux de Louise. On y trouve la même espièglerie. - « Toutes ces émotions m’ont donné soif ! » rajoute-t-elle en m’embrassant sur la bouche sans façon. Et à l’adresse de sa sœur : Tu ne fais pas les présentations ? » - « Je suis Pascal. Oui j’ai trouvé le spectacle très excitant…et je sais où trouver du Champagne ! » - « Pascal je te présente ma petite sœur : Julie » enchaîne Louise. Je les accompagne en les prenant par la taille toutes les deux, sous le regard envieux du premier partenaire de Julie, qui voit sa proie lui filer entre les doigts, sans avoir jouit d’elle. L’aînée accrochée à un bras et sa cadette à l’autre, nous laissons l’orgie en cours se poursuivre sans nous. L’une toujours nue et l’autre ayant réajusté sa robe, moi-même de plus en plus mal fagoté, nous formons un trio assez hétéroclite mais non dénué de charme et de fantaisie.