1. Eléonore Ren


    Datte: 04/01/2018, Catégories: f, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Masturbation uro, sf,

    ... vulgarisation de médecine comme il en existait beaucoup. La question posée par la première interlocutrice était exactement celle que se posait Éléonore – et cette dame se demandait même comment cela était physiologiquement possible ! Les réponses par contre n’étaient pas merveilleuses. Beaucoup disaient être dans son cas, à savoir atteindre de meilleurs orgasmes quand l’envie d’uriner les pressait. «… la vessie étant pleine, elle appuyait plus sur le vagin qui ainsi ressentait plus les frottements du pénis. » Après tout, cette phrase n’était pas idiote, mais elle ne représentait pas le cas de la jeune femme qui n’avait pas eu besoin d’un sexe mâle pour vivre le plus bel orgasme de sa vie – en réalité, et même en rêve ! — Va pour le deuxième résultat. Encore un forum, un forum de femmes au vu des couleurs et de l’intitulé. Nue, elle était nue sur sa chaise de bureau, devant l’ordinateur à faire des recherches sur l’orgasme féminin, alors que sa vulve parfaite semblait vouloir littéralement absorber le cuir sous elle. Sa position était d’une insouciance et d’une provocation infinie ! Là encore il n’y avait rien de bien probant, encore des jeunes femmes qui témoignaient elles aussi avoir plus de plaisir avec une vessie pleine, que ce soit un orgasme clitoridien que vaginal. — Suivant s’il te plaît.— Bien. Le support change. Il s’agit d’un papier psychologique sur le propos recherché.— Merci. Un papier psychologique… après tout, ce ne pouvait être que plus sérieux que tous les ...
    ... témoignages qu’elle avait lus jusqu’alors. L’auteur avait écrit un bouquin aux alentours de 2007 sur l’orgasme féminin, et paraissait avoir creusé le sujet à fond — 856 pages ! Ah ! La page Urnet était en fait le résumé d’un débat réalisé par audioconférence entre l’auteur Mike Louguis et certaines lectrices, avides de questions. «… une plus grande facilité d’orgasme quand vous avez la vessie pleine tient au fait que le volume de cette vessie appuie sur les tissus érectiles de la prostate féminine. » Cette phrase était très claire, seulement Éléonore était persuadée que la prostate féminine n’existait pas, ou du moins si peu développée qu’elle était inutile au corps féminin. Seulement, en parcourant plus bas l’article, cette question là aussi était posée à M. Louguis. La réponse était là encore précise et concise — digne d’un scientifique : «… les cellules qui doivent donner la prostate se développent très fort chez l’homme et très peu chez la femme, mais assez pour dire qu’il existe un tissu prostatique chez la femme qui constitue le point G.» — Merci. Tu peux fermer Urnet. Passe une musique douce sur les haut-parleurs.— D’accord. Ces deux réponses lui avaient fourni exactement ce qu’elle souhaitait savoir. Par pression interne sur la petite prostate féminine qui ne se faisait remarquer que sous forme d’un tissu rugueux sur la paroi vaginale interne, à environ deux phalanges de l’entrée, une vessie pleine favorisait ainsi grandement la perception de la femme au plaisir et à ...
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