Eléonore Ren
Datte: 04/01/2018,
Catégories:
f,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
Masturbation
uro,
sf,
Résumé de l’épisode précédent :La nuit réparatrice qu’espérait passer Éléonore après sa fin de journée épuisante ne fut en fait qu’un vaste rêve érotique qui eut sur elle des conséquences orgasmiques très puissantes. Il est vrai que ce n’est qu’en rêve qu’elle se masturbe et ressent le plaisir d’avoir une vessie pleine, mais sur Terre, dans son lit, elle n’en jouit pas moins d’un orgasme foudroyant… Rêve ou réalité ? Un beau week-end comme elle les aimait allait commencer. Un long week-end de trois jours pendant lequel il ne serait ni question de brevets, ni de réunions, ni de travail – tout court. Et de surcroît un week-end qui avait fantastiquement bien commencé. Cinq minutes à peine, et la salle de bains était déjà pleine de vapeur, une vapeur bienfaisante qui rappelait à elle la brume de son rêve. Ce rêve… la douche fut l’occasion pour la jeune femme d’essayer de s’en souvenir entièrement, d’essayer de dépasser ces sensations qui avaient persisté depuis le monde onirique jusque dans le monde réel quand elle s’était réveillée. Elle se rappelait assurément l’eau et ces bouteilles étranges qui ne se vidaient jamais sauf à disparaître, et aussi ce paysage monotone et beau qui faisait l’intégralité du monde fantasmagorique dans lequel elle avait passé les dernières heures de la nuit. De ce qui avait pu provoquer en elle un tel émoi, rien. Pourtant elle essayait, essayait de percer le voile d’ombre qui enfouissait ces souvenirs, mais rien. L’eau de la douche s’arrêta, alors ...
... qu’un petit pipi échappait comme tous les matins à son contrôle, or liquide qui coulait, éperdu, vers la bonde. Les dernières gouttes ambrées tombées par un gracieux mouvement de hanche, la belle se saisit de son peignoir avant de s’emmitoufler soigneusement dans le vêtement de tissu éponge. Mécaniquement, elle se brossa les dents, sécha les cheveux et observa consciencieusement au miroir grossissant son visage à la recherche du moindre défaut à corriger. Il n’y en avait pas ; comme d’habitude. Puis, en jeune femme digne des canons de beauté, elle se dévêtit de son peignoir en le laissant glisser sensuellement le long de son corps avant de monter sur la balance. Le pèse-personne… un de ses plus fidèles serviteurs, sur lequel elle adorait voir s’afficher tous les matins inexorablement le même nombre, à peu près. Et ce n’est qu’en se baissant pour ramasser le peignoir qu’elle saisit son reflet dans le miroir de plain-pied qui faisait office de porte d’armoire. Pliée en deux, ses charmes semblaient outrageusement exposés, mais ce ne faisait que renforcer sa beauté. Debout, elle était ange doré. Ses yeux étaient deux lacs d’or liquide, pailletés de-ci de-là de pépites d’argent qui les rendaient si mystérieux et si attirants – les miracles de la génétique ! Son nez était fin, mutin et semblait tant à sa place là où il se trouvait, que nul n’aurait pu dire autre chose de lui qu’il était – comme le reste – splendide. Et sa bouche… une bouche peu étirée, d’une taille qui s’accordait à ...