1. Vieille chopée aux chiottes


    Datte: 05/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Il s’appelle Marc. Il a aujourd’hui 35 ans. Châtain aux yeux bleus, plutôt grand, bien bâti. Toujours, il se souvenait de cet été 1994, il y avait plus de vingt ans. Ses parents l’avaient amené en Corse, sur une plage sauvage, et tous faisaient du naturisme. Pas Marc, lui, pudique, il gardait un slip de bain, comme la plupart des jeunes en présence. Mais les adultes, eux, ne se gênaient pas pour se promener nus. Alors bien sûr, Marc s’excitait sur toutes ces « femmes matures » qui se baladaient ça et là, le pubis à l’air, leurs opulentes fesses bronzées, leurs seins un peu pendants. Ca avait des formes si généreuses, les vieilles ! L’une d’elle l’avait marqué plus qu’une autre. C’était Michèle, une amie prof de sa mère. Elle avait alors près de quarante ans, comme tous les adultes en présence. Blonde aux cheveux courts, elle avait la peau très blanche, évitant le soleil. Et des formes qui firent fantasmer Marc : joliment gironde, elle avait les hanches amples et dodues, des seins en poire bien pleins, volumineux, un petit ventre magnifique au dessus de sa mignonne chatte, peu pileuse et blonde. Sa belle chair laiteuse, très blanche, avait donné de folles idées à Marc… Et le temps a passé. Marc n’y pensait plus que part quelques rêveries éparses, de plus en plus rarement. Il avait maintenant 35 ans. Une fête est organisée par la famille et ses amis… Marc n’allait plus trop aux fêtes de ses parents, mais cette fois il ...
    ... était venu… Et là, entre tous ces « vieux » qui discutent et boivent, près du barbecue ou du buffet, Marc la voit. Michèle. Il l’avait déjà revue, mais très vite, Michèle était restée une amie de la famille. Il entendait parler d’elle, parfois. Elle était toujours prof d’histoire dans le lycée de sa mère. Elle devait approcher les soixante ans. Ses cheveux, devenus mi courts, avaient viré au gris clair, sa peau restait toujours pleine, et plus fine et blanche qu’avant. Ses formes étaient restées aussi généreuses qu’avant. Ses fesses amples et ses seins proéminents tendaient sa robe d’été bleue. Marc sentit l’excitation le gagner. Sans réfléchir, il s’approcha d’elle, zigzaguant entre les convives. Michèle était alors un peu à l’écart, adossée à une colonne de la grande terrasse. Elle lui offrit un grand sourire, chaste, pour le fils de sa meilleure amie qu’il était. -Bonjour Michèle. - Bonjour Marc. Ils se firent la bise. Normal. Puis échangèrent des banalités. Marc bandait. La musique avait démarré plus fort, vieux refrains des années passées, et les vieux allèrent danser, bousculant un peu Marc contre Michèle. Marc resta alors collé contre elle, figé. Michèle sentit la forme chaude et dure de Marc pressée contre sa cuisse, au travers des tissus. Elle rougit, mal à l’aise. Puis essaya de rire : -attention Marc, tu… La main de Marc se glissa entre ses jambes, caressa son genou, relevant sa jupe pour se glisser dessous. -allons, mais… que fais tu ? La respiration de Marc était ...
«1234...»