Vieille chopée aux chiottes
Datte: 05/01/2018,
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Dans la zone rouge,
... contre ses jeunes pectoraux, elle était debout, les jambes écartées au dessus de son sa grosse bite dressée comme un pal. Michèle sentit que sa chatte ouverte gouttait dessus. Son cœur battait la chamade. -Non Marc, on ne peut pas… pourquoi ? Je… je ne suis pas de ta génération. Ses jambes tremblaient, mais elle se laissait faire. -Tu me plais Michèle. Il l’empala sur sa grosse bite dure. Ça glissa tout seul, bien que Michèle eut un suffoquement : -Ho.. hooooooo … Sa chatte était toute remplie de cette bite. Le cœur de Michèle s’accéléra encore, elle avait de l’électricité partout. Marc commença à la soulever en vas et viens réguliers, faisant rentrer et sortir en elle sa grosse bite. -Non, Haaaa, hooo, haaaa, non Marc, on ne doit… ha haaa.., implora Michèle. -T’aimes ça, Michèle, on est bien là, non ? -Hoo, non… non, faisait Michèle en se faisant baiser comme une chienne dans les chiottes. Mais ses dénégations devenaient faibles, elle ahanait, se tortillait sans forces, en sueur. -Ho si, t’aimes. -Ho ha han han … ha… Michèle était incapable du moindre mot, elle gémissait, tandis que les mouvements donnés à son corps par les mains de Marc s’amplifiaient, lui enfonçant sa grosse bite dans les entrailles. -Dis moi que tu aimes, qu’on est bien là tous les deux. T’es bien, Michèle ? lui susurrait Marc en la besognant d’en dessous, ses mains agrippées à ses hanches rondes et blanches. -Ho… haaa… non… oui… je… han han, oh Marc ! Hooooooooo… Michèle n’en pouvait plus de se faire ...
... baiser comme ça, c’était incroyable ! Quelle honte, mais aussi quelle intensité ! Elle avait chaud, était suffoquée, elle jouissait. Marc était trop bien en elle, dur, chaud et humide. Il la baisait bien. -Dis tu aimes. Michèle gémissait, en extase : -Oui, haaaa, oui j’aime… haaa… j’aime !... hooo… oui, Marc, c’est… haaaaa… j’aime ! --oui, moi aussi, han han ! La besognait Marc. Il ne pouvait plus se retenir : haaaa… Agrippé à ses grosses fesses blanches, il éjacula en elle à grand coup de reins, qui firent tressauter sur lui le corps grassouillet de Michèle. -Ho oui, ouiiiiiiiii, criait Michèle, en le serrant dans ses bras. Elle sentait son sperme brûlant lui remplir la chatte, tandis que sa cyprine dégoulinait sur lui… C’était merveilleux ! Après leurs orgasmes, ils restèrent un temps indéfini collés l’un à l’autre, si bien !... Marc, toujours assis sur la cuvette, avec Michèle à cheval sur lui, en sueur, ses gros seins mous pressés contre sa poitrine, et sa chatte qui coulait sur lui. Sa bite était toujours en elle, se ramollissant imperceptiblement. Il faisait toujours quelques légers mouvements en elle, et Michèle y répondait par de petits mouvements incontrôlés du bassin, le serrant fort contre elle. Marc palpait ses grosses fesses, et ses hanches dodues… Mais d’un coup… Blam !... Ils sursautèrent. La porte des toilettes s’était ouverte sur eux ! N’était-elle pas verrouillée ? Par-dessus l’épaule de Michèle, Marc vit avec horreur que c’était Paul, le mari de Michèle, qui ...