La croisière continue, les expériences surprenantes aussi
Datte: 06/01/2018,
Catégories:
grp,
couplus,
cocus,
copains,
vacances,
sauna,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
... sous un porche et nous arrivons devant une porte en haut de quelques marches de pierre. Deux types sont installés sur les marches et nous regardent arriver silencieusement. Notre guide leur parle en arabe. Je ne sais pas s’ils sont de sa famille, mais ils n’ont pas l’air spécialement heureux de le voir. Nous montons et entrons dans la maison. C’est drôle, on se croirait dans une grande maison bourgeoise de province française de la fin dix-neuvième. Un grand escalier part en face de nous vers l’étage et plusieurs portes sont disposées autour de l’entrée, dont une à doubles battants grands ouverts à notre gauche. Rachid nous y emmène. C’est une grande pièce, mi-salle de séjour, mi-bureau, meublée à l’européenne. Deux hommes vêtus de tee-shirts et de jeans sont assis sur les canapés aux couleurs criardes. Le troisième, en costume très classe, est assis à son bureau. C’est un homme d’une cinquantaine d’années, il paraît assez gros, le cou épais et se passe un mouchoir autour du cou pour éponger la sueur. Rachid se dirige vers lui. — C’est elle, patron.— Bien. Qui c’est le type que tu as ramené avec elle ?— Je ne sais pas, patron, ils déjeunaient ensemble. Sûrement le type qui l’a baisée cette nuit. Ils voulaient visiter Casa ensemble, je me suis douté qu’il ne vous gênerait pas.— Mmm. Tu disais qu’elle est blonde ? Il se tourne vers nous et s’adresse à Sophie.— Enlève ton foulard, je veux te voir. Ce n’est pas son père. Il nous a amenés ici sur demande de ce type. En fait, il a ...
... amené Sophie, moi, je ne suis qu’un accident de parcours. Dans quelle histoire on s’est fourrés ? Ils sont sûrs d’eux puisqu’ils ne se donnent même pas la peine de parler entre eux en arabe. Je décide d’intervenir, je trouve qu’ils parlent un peu trop librement de ma femme. — Je suis le mari de cette femme et j’aimerais bien comprendre ce que nous faisons ici. L’homme paraît surpris. — Le mari ? Il se tourne vers Rachid. — Tu m’as dit que le mari était malade ? Comment peut-il être là ?— C’est ce que m’a dit mon informateur à bord. Mal de mer sévère, le médecin a dit à notre homme huit jours pour émerger. Ils sont partis depuis cinq jours, je n’ai pas pensé que ça pouvait être le mari. Le patron me regarde. — Ça ne change pas grand-chose, tu vas aller bien gentiment avec Rachid et Mohammed dans une pièce à l’étage. Si tu le désires, on peut t’amener une femme qui t’aidera à passer le temps. Quand j’aurai fini avec celle-là, vous pourrez partir sans problème. Si tu veux poser des difficultés, tu trouveras à qui parler, Rachid et Mohammed sont armés et ont l’habitude de se battre, tu as beau être grand et fort, tu ne feras pas le poids, compris ?— Pourquoi nous avoir fait venir, nous ? Ou plutôt mon épouse, manifestement.— Eh bien, pour le plaisir ! J’aime varier les plaisirs et les femmes européennes sont souvent étonnantes. Pourquoi elle ? J’ai des informateurs à bords de plusieurs paquebots qui surveillent les passagères les plus salopes. Sur l’Orchestra, c’est encore plus ...