L'amour d'un père (12)
Datte: 06/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... suis vraiment une salope. Il me faut de la bite, peu importe à qui elle appartient. Un autre arrive alors qu’il est toujours en train de me sodomiser. Le nouvel inconnu nous regarde choqué de découvrir un couple en train de s’envoyer en l’air sans aucune pudeur dans les toilettes. — Mais c’est ce que... — Tu as vu ça ? l’interrompt mon partenaire. Quelqu’un à laisser cette pute ici pour qu’on se vide dedans. Viens, profite-en. En plus, elle est bonne. Ils me détachent du tuyau tout en gardant mes poignets liés. Ils me forcent à les sucer. J’adore ça, j’ai faim de leurs queues. Cela me démangeait d’avoir un truc en bouche depuis tout à l’heure. Je les pompe autant que je peux sans me servir de mes mains. Ils me pressent contre leurs sexes pour me faire faire des gorges-profondes. Je suffoque avant qu’il me relâche brusquement. Je respire de grande bouffe d’air, en état de choc, mais aussi d’excitation. Je me fais sautée en levrette par un tandis que je suce l’autre. Ils échangeant régulièrement de place et de trous. Cela me rend heureuse de voir à quel point ils prennent du plaisir. Ces garçons ne sont pas de ma famille, ils ne me connaissent pas, pourtant, ils ont envie de moi. Cela me donne envie de tout faire pour les satisfaire, je veux qu’ils se souviennent de moi, que la prochaine fois qu’ils baiseront une femme, c’est à moi qu’ils penseront. Ils me font souvent changer de position, je les laisse me faire tout ce qu’ils veulent. Ils sont brusques, mais encore trop ...
... timide à mon gout. J’arrive finalement à bout de patience et leur demande ce que j’attendais depuis le début : — Allez ! Faites pas vos coincés là ! Prenez-moi tous les deux ensemble ! Si j’ai deux trous, ce n’est pas pour rien ! — Sale trainée ! Alors là, tu vas prendre cher ! s’exclame l’un d’entre eux. Voilà ce qu’on fait de moi mon frère et mon cousin : je ne supporte désormais plus d’avoir un trou vide si j’ai deux queues à disposition. Je crie de plaisir lorsqu’ils me prennent enfin en double. Je suis remplie de bites, j’en pleure de joie. Ils me ramonent comme des chiens affamés. Je suis prisonnière entre leurs deux corps chauds. Même sans avoir les mains attachées, je serais incapable de bouger ou de me défendre. Je suis leur jouet sexuel, passif et docile. Je jouis plusieurs fois. Après qu’ils se soient bien amusés, ils me font me mettre à genoux et se soulagent sur mon visage. Je ressemble à une chienne assoiffée tant je cours d’une bite à l’autre pour attraper leurs jets de sperme. J’avale ce que je peux puis je suis déçue lorsque le déluge s’arrête déjà. J’en veux plus toujours plus. Je les supplie de me prendre encore lorsqu’ils font mine de s’en aller. — Désolé salope, mais tu nous as vidés. On peut te ramener deux trois copains si c’est ce que tu veux. — Oh oui ! S’il vous plait ! Encore ! Encore ! Je suis véritablement en transe. Mon corps réclame du sexe, je ne vis plus que pour ça. Ils m’ont laissé sur le sol dans un piteux état, dégoulinante de sperme. Je ...