L'amour d'un père (12)
Datte: 06/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pourrais m’en aller puisqu’ils ne m’ont pas rattaché au tuyau, mais je n’en ai plus envie. J’attends juste de sauter sur la bite du prochain qui entre. L’attente est longue, plus personne ne vient. Quant aux deux autres, j’ai l’impression qu’ils m’ont oubliés ou qu’ils m’ont mentis. J’allais me résoudre à rentrer chez moi quand la pour s’ouvre enfin pour laisser en train un véritable troupeau de mâles. J’ai des étoiles pleins les yeux. Ils sont là pour moi ? Tous ? Manifestement, le mot qu’il y avait une pute dans les toilettes qui ne demandaient qu’à se faire sauter et bien passé. Dans le tas, il y a des gens que je connais et même un qui m’a déjà sauté tout à l’heure. Je plonge sur le pantalon du premier qui passe et lui défait sa braguette. Je le suce en regardant les autres sortir leurs sexes pour se branler. Ils sont si nombreux, je le veux toutes. Je ne sortirais pas d’ici tant que toutes ces queues n’auront pas éjaculé et que leurs couilles soient vides. Ils bandent pour moi, rien que pour moi, cela me rend folle. C’est si beau une bite, c’est devenu mon obsession, mon objet de vénération. Je ne peux pas en voir une bien dure sans avoir envie d’en prendre soin. Je veux la câliner, la chouchouter, et donner du plaisir à son propriétaire pour l’aider à jouir. Je suis offerte à quiconque à envie de moi. Je suis une trop bonne âme pour laisser quelqu’un dans le besoin. On me fait passer de chibre en chibre en abusant de ma gorge. On me détache enfin les mains pour que je ...
... puisse les branler. Ils y en a trop, beaucoup trop. Je m’en veux de ne pas pouvoir donner à tous l’attention qu’ils méritent. Des mains innombrables me caressent, me palpent et me pincent. Je mouille comme une damnée. Je meurs d’envie qu’on me prenne, je ne supporte pas de sentir mes orifices aussi vide. Je veux qu’on me souille. Un homme me pénètre enfin, je gémis à travers le mandrin que j’ai dans la bouche. Rapidement, les choses débordent et je ne comprends plus ce qui se passe. Je suis au paradis, je suis entourée de bites attachées à des garçons. Je suce tout ce qui passe à ma portée, on abuse de mes trous sans modération. J’entends des rires, des soupirs et des insultes dont le contenu m’échappe. Quelqu’un éjacule dans ma bouche, je l’avale goulument. Un autre explose dans mon cul avant d’être remplacé. On me reprend en double pour mon plus grand bonheur. On me force dans des bouches alors que je suis déjà malmenée. Je prends un pied monstrueux. Mes partenaires se succèdent. On me remplit de semence et me couvre de foutre. Je ressemble à une vraie loque humaine. De long filets de bave sortent de ma bouche jusqu’au bas du ventre. Je jette un coup d’œil au tableau. Les barres de craies ne cessent de s’accumuler. Je n’en ai pas encore assez, je veux améliorer mon score. Je ne vois plus le temps passer, j’ai l’impression qu’on me tire depuis des heures. Certains des hommes sortent après avoir fini, d’autres nouveaux arrivent, d’autres encore réclament un second round. On me ...