Libertins libérés (3)
Datte: 07/01/2018,
Catégories:
Lesbienne
« Nous dégoulinions de plaisir. Après avoir ainsi joui une première fois, Carole m’a poussé par terre et est venue s’allonger au dessus de moi, le visage entre mes jambes, ma chatte à la hauteur de sa bouche. » Assise à la terrasse d’un café, je me délecte de ce roman érotique que Jean-Pierre (mon amant de l’épisode 1) m’a prêté. C’est l’été, et l’air est rempli d’une lourdeur moite annonçant les orages du mois d’Août. J’avais terminé mon travail en avance et rendu mes rapports à mon boss. J’avais donc pris mon après midi et en avait profité pour flâner le long des quais. A quelques pas de chez moi, j’avais trouvé ce petit bistrot en bord de Garonne et je m’installais en terrasse. Ma citronnade commandée, j’enlevais mes lunettes de soleil, je n’en avais plus besoin à l’ombre du parasol et je sorti le roman de mon sac. Il faisait très chaud. J’essuyais mon front qui commençait à perler de sueur. Je regardais autour de moi, les gens se promenaient, profitant de leurs vacances. A une table presque en face de moi, j’aperçus une femme qui me regardait. Avait-elle vu quel genre de livre j’étais en train de lire ? Elle buvait son perrier en me regardant furtivement. Elle devait être un peu plus jeune que moi, habillée légèrement mais décontracté, elle portait une jupe courte à volants, un petit chemisier sans manches qui lui serrait la poitrine, des petites baskets blanches en toile, et ses longs cheveux noirs étaient noués en une tresse qui passait par dessus son épaule et venait ...
... se perdre entre ses seins. Je la trouvait très belle. Je lui souris gentiment et repris ma lecture : « Son souffle chaud se rapproche et sa langue vient cueillir les gouttes de nectar qui coulent d’entre mes lèvres, commençant un ballet qui m’entraîne inexorablement vers la jouissance. » Je lève les yeux, elle est toujours là. Elle me regarde et me souri timidement, Je lui rends son sourire, elle me plaît. Soudain, elle décroise ses jambes, frotte sa jupe pour enlever les faux plis, et hésitante, se lève et se dirige vers moi. Je pose mon livre sur la table, je ne le cache pas, et prend une gorgée de ma citronnade. Elle se déplace lentement, avec timidité. Elle est très jolie et pleine de grâce. « Bonjour, me dit-elle, j’aimerai savoir si vous pourriez me renseigner, je cherche l’office du tourisme. Je suis nouvellement arrivée dans cette ville que je ne connais pas. Mais je ne voudrais pas vous déranger dans votre lecture. » Elle pose alors son regard sur le livre posé sur la table et s’empourpre en lisant le titre Corps à corps, nouvelles lesbiennes. Sa gène apparente et ses joues qui s’empourprent me font fondre. De mon regard le plus tendre et le plus bienveillant je lui répond : « Je vous souhaite alors la bienvenue parmi nous !! Vous verrez cette ville est magnifique. Mais asseyez vous, je connais bien Toulouse, je pourrais peut-être mieux vous renseigner qu’à l’office du tourisme. Je m’appelle Amandine. — Merci beaucoup. Moi c’est Sonia !! dit-elle en me décrochant un ...