1. Libertins libérés (3)


    Datte: 07/01/2018, Catégories: Lesbienne

    ... sourire à vous faire tomber. Elle respire l’innocence et la joie de vivre. Elle est rayonnante !! Nous commandons un petit verre de Jurançon. Elle me raconte qu’elle vient de Lyon. Elle est arrivée dans la région pour suivre son petit ami qui avait trouvé du travail ici. Pour sa part elle avait trouvé un job saisonnier comme serveuse à mi temps dans un resto du centre ville. Nous parlons de choses et d’autres, de la ville, des monuments à voir. Je lui dit que je suis mariée. Notre conversation devient plus intime. Elle regarde à nouveau mon livre posé, et s’empourpre de plus belle. Je lui dit que mon mari et moi sommes libertins, nous aimons partager les plaisirs charnels, mais je garde un ton léger pour ne pas la faire fuir. Elle m’avoue alors que aujourd’hui lorsqu’elle est rentrée à leur appartement plus tôt que d’habitude, elle a trouvé son copain nu en présence de deux filles également nues, et dans une drôle de posture. Une des filles léchait le sexe de l’autre fille pendant que son petit ami lui pilonnait la chatte. Elle m’explique que sous le choc elle l’a giflé et est partie. Elle m’avoue qu’elle ne lui en veut pas, qu’elle pense qu’elle ne l’aimait pas vraiment, mais que la vue de ce spectacle lui a trotté dans la tête toute la journée et que – elle baisse un peu la voix et les yeux – ça l’a même un peu émoustillé. Sans sans rendre compte, elle a attrapé sa tresse et se caresse la joue avec le petit plumeau, un tic certainement, mais tellement mignon, je fonds… ...
    ... Je lui propose d’aller marcher le long des berges pour nous dégourdir un peu. Nous réglons nos consommations, je remets le livre dans mon sac tandis qu’elle scrute mes gestes. Elle décroise ses longues jambes, sa jupe remonte légèrement, et se lève. Nous reprenons une discussion plus classique et nous nous surprenons à avoir de gros éclats de rire. Je passe une très bonne après-midi. Nous marchons dans les ruelles de la ville, lorsque le ciel s’assombrit. Une goutte, deux gouttes, puis trois et nous voilà à courir en riant sous un bel orage. Je la tire par la main, je n’habite pas loin. Arrivées devant la porte de mon immeuble je la plaque sous le petit porche pour la mettre à l’abri, et je compose le code pour ouvrir la porte. Je la regarde, sa jupe trempée colle à ses cuisse et son chemisier mouillé et transparent laisse apparaître de beaux tétons bien durs. Hummm, farouche et pétillante, elle me fait envie !! Je la pousse à l’intérieur, et nous montons les deux étages sans ascenseur. Dans l’appartement je lui indique la salle de bain et lui propose une serviette. Elle commence par essorer sa tresse ruisselante, elle a laissé la porte ouverte, je l’observe, elle me regarde, me sourit. J’entre alors dans la pièce d’eau et je la prend dans mes bras par derrière face au grand miroir. Elle se laisse faire, nos vêtements trempés dégoulinent le long de nos corps et nous laisse dans une flaque. J’appuie mes lèvres sur sa nuque en de tendres baisers, elle ne bouge pas, mais sa ...