1. Coeur serré, je sauve ma vie


    Datte: 06/07/2017, Catégories: fh, hplusag, médical, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, fdanus, confession,

    ... mamelons simultanément, je ne peux réprimer un léger mouvement de recul qui a pour conséquence de tendre les deux boutons à l’extrême. L’effet est fulgurant et mes yeux s’embrument, se ferment et se révulsent. J’ai mal mais c’est pour lui. Il me dit alors que je dois à nouveau « me défaire » et m’allonger car la zone glandulaire tégumentaire se doit également d’être inspectée. J’en déduis que ma culotte est de trop et qu’il me souhaite totalement nue. Cela me donne une bouffée d’espoir : lui plairais-je ? S’intéresse-t-il à moi ? Pourvu que ce soit cela, qu’il use de moi comme il l’entend et autant qu’il en éprouve l’envie si cela le pousse à ne rien proférer de définitif ! J’enjambe donc ma culotte assortie à mon porte-jarretelles mais je conserve celui-ci, mes bas et mes talons pour demeurer à mon avantage, désespérée de séduire que je suis. Il me fait maintenant coucher à plat ventre et me fait saillir le postérieur sur la table d’examen. Se peut-il qu’il en veuille à mon derrière ? C’est une zone totalement inviolée de mon individu et je n’ai même seulement jamais envisagé d’accepter qu’on y pénètre. Je le vois en retrait, soufflant un peu, s’évertuer à enfiler des gants chirurgicaux. Ce geste me le fait imaginer nu, s’efforçant d’enfiler un préservatif sur le sexe dont il préparerait l’intromission. Cette image de lui, gros, vieux et transpirant s’apprêtant à me couvrir devrait me dégoûter mais là, elle me rassure. Pourvu qu’il en ait envie, que je lui plaise. Il ...
    ... s’approche de moi et s’empare sur une tablette métallique d’un appareil qu’il gaine de plastique et enduit de gel. Il me dit encore de me détendre car il doit atteindre la zone de palpation vestibulaire avec deux doigts et qu’il faut me détendre. J’avale ma salive difficilement et le sens me toucher où personne ne l’avait jamais fait. Il tourne de son index autour de mon anus qu’il enduit de gel également. Je sens ses doigts accomplir d’innombrables mouvements tournants et assouplissants. Le geste s’éloigne et se rapproche et son index pénètre à chaque fois légèrement la capsule. Toujours un peu plus loin… Finalement, je ressens la pointe de son outil se positionner au seuil de mon œillet. Je frémis lorsque je sens sa main gauche en pince écarter mes fesses, fines et musclées, et sa main droite forcer pour enfoncer ce qu’il nomme alors un speculum. Je grimace de douleur à l’intromission, mais immédiatement il manipule l’appareil et provoque l’écartement des pinces qui me dilatent le derrière au-delà de ce que je croyais possible. Je suis allongée, nue, pénétrée, béante, sa main gauche sur ma fesse et je le sens scruter mes parties intimes. Le fait d’avoir gardé bas et porte-jarretelles, ainsi que mes talons me font soudain prendre conscience de ma dépravation et de l’apparence que je dois lui donner vu d’où il est : je dois lui apparaître dépravée, vulgaire, prête à tout, provocante et sans retenue. Une bouffée de honte me parcourt. Je me dis que je ne pourrais sûrement jamais être ...
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