Gynécologue Pervers
Datte: 09/01/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Partouze / Groupe
... humide et prête à s'ouvrir, et il n'eut aucun mal à y enfoncer deux doigts d'un coup. Il se mit à les faire aller et venir tout en finissant ce qu'il faisait sur mon sein, puis s'écarta de moi et, sans sortir les doigts de mon sexe, alla s'agenouiller au pied de la table, devant mes cuisses maintenues écartées par les étriers. Sa langue me pénétra sans que je puisse résister, je fus au bord des larmes en me rendant compte que moi, une épouse aimante et fidèle à mon mari, le père de mes quatre enfants, j'étais attachée nue devant un homme qui pouvait user de moi de toutes les façons qu'il voulait, et que je prenais plaisir à ce qu'il me faisait. Mon mari, de crainte de faire du mal au bébé, ne me touchait plus depuis des semaines, j'avoue que ça me manquait énormément, et voilà ce type me bouffait la chatte plus savamment que mon mari ne l'avait jamais fait. La colère et l'humiliation que j'éprouvais ne faisaient qu'ajouter à mon plaisir. Je cédai une première fois et il le sentit, buvant ma mouille dégoulinante aussi soigneusement qu'il avait bu mon lait. Il se redressa pour contempler mon corps pantelant d'un air satisfait, puis il passa à la tête du lit et disparut de mon champ de vision, me laissant face à cette maudite caméra qui continuait à enregistrer mon supplice. Attachée comme je l'étais, je ne pouvais pas tourner la tête suffisamment pour voir ce qu'il faisait, mais j'entendis qu'il me déshabillait, et essayai de me résigner à subir une nouvelle étape de ma ...
... souillure.Il réapparut complètement nu, exhibant un sexe dressé qui me parut de dimension impressionnante. Il le promena un moment sur mes seins et mon ventre, puis se plaça debout entre mes cuisses et me l'enfila d'un seul coup. Ma chatte était encore bien lubrifiée de ce qu'il m'avait fait, et son engin rentra tout entier, malgré sa taille très supérieure à celle de mon mari. Il commença à me limer sans ménagement aucun, sortant sa bite presque entièrement à chaque fois avant de me la remettre jusqu'au fond. Attachée comme je l'étais, je ne pouvais ni lever plus haut les jambes, ni les passer autour de son dos, et le poids du bébé m'empêchait de me cambrer. J'avais l'impression que mes reins allaient se briser, j'avais mal à pleurer, et en même temps je commençais à ressentir un plaisir incroyable. Il s'en aperçut, me força à dire que ça me plaisait, et éjacula en me remplissant de foutre, tandis que j'éprouvais un orgasme comme je n'en avais jamais ressenti avec mon mari.Il ressortit sa bite, l'essuya sur mon ventre pendant que je reprenais mon souffle, et me dit que si je voulais qu'il me détache les chevilles il fallait que je le suce. Je fis signe que oui, et il introduisit son nœud à peine ramolli dans ma bouche. Je me mis à le pomper du mieux que je pouvais en l'excitant de ma langue, il redevint vite bien raide, en même temps de la main il se remettait à me pincer les seins et à me caresser le ventre, les poils et la moule. Il ne tarda pas à faire gicler son foutre chaud ...