Gynécologue Pervers
Datte: 09/01/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Partouze / Groupe
... dans ma bouche, me le faisant boire et me faisant nettoyer sa bite jusqu'à la dernière goutte.Il me détacha les chevilles, et je pus enfin retirer mes pieds des étriers et détendre un peu mes jambes qui me faisaient atrocement mal. Pendant ce temps, il ouvrait un tiroir de son bureau et, à mon grand étonnement, en retira une paire de bas blancs et des escarpins assortis. Il me les enfila - car ils se révélèrent être tout à fait à ma pointure - sans que je puisse l'en empêcher, les poignets toujours attachés comme je l'étais. Il alla régler sa caméra pour faire quelques gros plans sur ma chatte poilue au-dessus de mes cuisses gainées de bas, sans même que je pense, maintenant que j'avais les jambes libres, à resserrer les cuisses ou à me tourner sur le côté pour le priver du spectacle obscène dont il se régalait. Puis il prit dans un autre tiroir un godemiché rigide presque aussi gros que sa bite, s'assit à côté de moi sur la table et me l'enfila dans la chatte en le faisant aller et venir d'avant en arrière. En même temps, d'un doigt il me tâtait plus bas, sur les rebords de mon petit trou. Je recommençais à gémir lorsqu'il retira le gode de ma fente et le présenta à l'entrée de mon anus. Il poussa lentement l'objet de plastique en moi, et je sentis mes sphincters s'écarter à mesure qu'il rentrait, se distendre jusqu'à être près de se déchirer. La douleur causée par le viol que j'avais subi en étant attachée des quatre membres n'était rien à côté de cela. Je criai, suppliai ...
... mon tortionnaire d'arrêter, lui promis qu'il pourrait me faire tout mais pas ça. J'avais l'impression que mon anus allait éclater lorsqu'il retira enfin l'engin, mais il ne renonçait pas pour autant à user de moi par cet orifice. Il prit sur son bureau une broîte de pommade, enfila un nouveau gant de plastique pour introduire un doigt dans mon petit trou et en enduire les parois. La douleur se calma rapidement, je sentis bientôt qu'il utilisait deux doigts pour me pommader, puis trois. Il me dit que je devais être prête maintenant, et me pénétra de nouveau avec le gode. L'engin s'enfonça plus rapidement que la première fois dans mon conduit lubrifié, la sensation était curieuse et inconfortable plutôt que douloureuse : avec le bébé dans mon ventre et le gynéco qui recommençait à m'enfiler ses doigts, cette fois dans la chatte, j'avais l'impression que mon abdomen était envahi de toutes parts!Il s'arrêta un moment pour aller mettre en marche son ordinateur, en vérifiant que je pouvais bien voir l'écran de là où j'étais. Il me dit qu'il avait enregistré des images de beaucoup de patientes pendant qu'il les baisait, et qu'il voulait m'en monter une en particulier. Le film commença à défiler sur l'écran : il avait été tourné dans le cabinet même où nous étions, et une femme était à quatre pattes par terre pendant que mon gynéco la prenait en levrette. Avec horreur, je reconnus ma fille aînée, Caroline, toute nue à part ses sandales et un débardeur remonté au-dessus de ses seins. ...