1. Marie


    Datte: 09/01/2018, Catégories: f, h, fh, jeunes, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, portrait,

    ... voulant pas entendre encore ce « Pas touche » qui, je le savais, serait prononcé inéluctablement !! Son espèce de danse était maintenant soutenue par des sons continus, graves, intérieurs comme ses rires. Je me levais moi aussi comme happé par sa danse, saisi mon sexe et me mis à me masturber au rythme infernal qu’avaient pris maintenant ses doigts que je ne pouvais quitter des yeux. Je me mis aussi à danser d’un pied sur l’autre sans y réfléchir et je crachais toute ma jouissance quand elle se mit à jouir également en bougeant pour le coup le buste en tout sens, en silence avec juste quelques petits cris qui semblaient lui échapper. Elle se calma un peu. Toujours en se caressant elle se mit à marcher lentement et monta les escaliers sans se retourner et disparut dans sa chambre sans fermer la porte. Je m’affalais sur mon lit et je m’endormis je pense dans la seconde qui suivit ! Quand je me réveillais, il n’y avait plus aucune trace au sol de ma jouissance. Marie n’était plus là, j’avais passé la tête le plus discrètement possible par la porte de sa chambre. Je restais avec une drôle d’impression : avais-je ou non rêvé ce moment incroyable ? D’autant plus incroyable que l’on n’en reparla jamais et qu’il n’y en eu aucun autre. Si quand même un autre. Un autre. Vers mi septembre, peu avant mon départ et donc bien trois mois après ce que je viens de vous raconter, un soir ou il avait vraiment fait chaud, j’étais au lit après une bonne douche et, comme elle le faisait souvent, ...
    ... elle rentre de son service et ressort après que l’on ait échangé de vagues mots et avoir passé quelques minutes dans sa chambre. Ce soir-là, elle repasse la tête par la porte et me dit : — Tu veux te baigner ? Me baigner ? Je ne voyais pas ce qu’elle voulait dire. La piscine ou notre présence n’était que vaguement tolérée, était de toute façon interdite de nuit, à part pour les clients éméchés contre lesquels la direction ne pouvait rien faire. — Viens. Je ne m’étais pas beaucoup changé les idées dans les jours précédents, je lui emboîtais le pas. Je ne risquais rien de toute façon. Elle marchait très vite et je suivais péniblement. Elle partit au travers du parc dans un coin ou je n’étais pas allé et se dirigea vers la falaise. Elle prit un passage entre de jeunes arbres et « attaqua » la falaise. C’est le mot ! Je me suis arrêté, me demandant si elle n’était pas folle, car je ne crois pas que l’on puisse appeler ça un chemin ! C’était complètement à pic et elle devait bien le connaître et l’avoir pris souvent pour y aller à une telle vitesse avec si peu de lumière. J’étais là, autant continuer. Peut être que ça allait s’arranger. Mais point d’amélioration et j’ai même, par deux fois dévalé quelques mètres sur les fesses ne pouvant m’arrêter qu’en m’accrochant dans des branchages heureusement présents tout au long. Des sortes de petits conifères tout rabougris, battus sûrement par les vents et de toute façon ne devant trouver que peu de terre dans cette colline rocheuse. En ...
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