1. Marie


    Datte: 09/01/2018, Catégories: f, h, fh, jeunes, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, portrait,

    ... plus, on avait l’impression que l’on allait arriver droit dans la mer qui semblait assez profonde. En fait, une fois presque en bas, ça devenait plus praticable et on s’enfonçait sous de petits arbres. Il y avait une toute petite crique que je n’ai pas réussi après à retrouver d’en haut. Elle faisait à peine trois mètres de large et était recouverte d’un beau sable blanc. Les habits de Marie me montraient le chemin de la mer, s’il en était besoin. Après quelques instants de récupération et un coup d’œil interrogatif vers le haut, me demandant comment j’allais pouvoir remonter, je jetais moi aussi mes habits en vrac tout en courant vers la mer. La vue d’une serviette de bain sur le sol me fit penser tout à coup que je n’en avais pas pris. Me jeter dans l’eau me fit le plus grand bien malgré les picotements que me faisaient les éraflures de la descente. Je mis un moment à voir Marie qui était partie assez loin. Trop pour moi en tous les cas. Je n’avais pas assez confiance dans mes talents de nageur pour la rejoindre et je me mis à m’amuser tout seul, nu comme un ver bien sur, une petite bandaison s’installant dans mon plaisir de ces jeux avec l’eau. Elle me retrouva au bout d’un certain temps et on joua un peu à s’éclabousser, le « Pas touche » ayant fusé quand je cherchais à l’attraper. Elle était tellement proche et décontractée tant que je ne la touchais pas que j’oubliais parfois. La remise au pas n’a jamais traîné. On n’est pas très curieux à 20 ans, ou moi en tous les ...
    ... cas, et je n’ai jamais cherché à savoir ce qui pouvait être à l’origine de ces réactions extrêmes. Tout essoufflés nous sortîmes de l’eau. — Pas pris ? me demanda-t-elle en me montrant sa serviette.— C’est pas grave. Mais elle se dirigea vers moi et entreprit de me sécher. Elle le fit le plus sérieusement du monde, comme une mère avec son fils. Elle passa sur mon sexe comme sur le reste du corps, comme si elle n’avait pas remarqué qu’il était un peu dur, en tout cas pas à l’état de repos. Elle me poussa sur la poitrine et me dit : — Allonge-toi. Mets tes mains sous ta tête et… (avec un petit sourire cette fois) pas touche. Il ne me restait plus qu’à obéir ! Elle entreprit de se sécher. Ce faisant, elle plaça ses pieds de chaque côté de mon buste et remonta tranquillement autour de ma tête. Je regrettais le manque de lumière. Quand elle se jugea assez séchée elle lança la serviette et augmenta doucement l’ondulation de son corps qui avait déjà commencé. Elle descendait ses fesses à quelques millimètres de mon visage, continuais à bouger en décrivant des cercles ou mimant la pénétration par des aller retour. Et puis elle remontait. Je ne voyais pas grand chose de précis dans ses lèvres, son sexe, sinon sa peau qui brillait et les différents tons de rose brillants qui fendaient sa peau noire. Ce spectacle était de toute beauté. De son sexe, je percevais l’odeur. C’était cette odeur que je sentais souvent quand elle était proche de moi, mais en plus fort, en bien plus concentré. Et ...
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