1. L'abolition des privilèges, notre jeu de la nuit du 4 août


    Datte: 09/01/2018, Catégories: fh, grp, hplusag, fplusag, jeunes, vacances, campagne, voyage, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pied, massage, jeu,

    ... vitesse. Le slip de Delphine, devenu transparent, colle à son pubis, épousant des lèvres qui paraissent délivrées de toute toison. Elle l’enlève, s’essuie un peu et s’accroupit pour en chercher un autre dans son sac. David se rince l’œil. Isabelle sort de l’eau et se débarrasse de son bikini, mais encore en nous tournant le dos, et Julien fait comme elle. Ils s’essuient et se rhabillent, pudiques. Antoine et Virginie paradent, nus comme des vers. Les bourses d’Antoine sont rabougries par le froid et sa verge est devenue toute petite, c’est amusant. J’enlève le haut de mon bikini. Les pointes de mes seins sont dures comme du bois, conséquence de l’eau glacée. Je quitte aussi le bas et, après m’être essuyée avec ma serviette de toilette alors que les garçons me regardent en douce, je mets le slip et le soutien-gorge que j’ai lavés hier soir. J’accroche mon bikini à la poche de mon sac à dos pour qu’il sèche pendant le trajet. Ils étaient beaux, ces corps brièvement nus. Il aurait suffi de peu de choses : paresser au soleil, appliquer de la crème sur les uns et les autres, sentir les mains de ces garçons sur mes cuisses, mes fesses, ma poitrine… Mais tout est resté correct. Nous reprenons la route pour arriver vers les 6 heures du soir chez les amis d’Antoine. Ils ont la quarantaine, comme lui. Nathalie est rousse, Olivier est blond et grand. Ils sont en train de préparer une paella et nous suggèrent de nous reposer en nous installant dans le jardin autour d’une grande table ...
    ... ronde en teck. — Mettez vos sacs sous la véranda, nous dit Olivier. Vous aurez bien le temps de découvrir vos chambres après le dîner. Et si vous voulez prendre une douche avant l’apéritif, il y a une salle de bain tout au fond du couloir. J’y vais quand vient mon tour. Je mets le slip que j’ai lavé avant-hier, celui au papillon sur le mont de Vénus. Je lave mon soutien-gorge, mes seins seront nus sous une chemisette froissée, chipée à David. Son tissu un peu rêche en fera gonfler les pointes. J’hésite entre mon jean et mon short. Comme il fera froid dans peu de temps, je prends le jean, quoique bien froissé lui aussi. On boit de la gentiane avec de l’eau fraîche. J’aime sa légère amertume. La paella est accompagnée de ce vin de sable qui monte si vite à la tête. Mais le soleil disparaît derrière la montagne, la fraîcheur tombe et le repas se termine par des sorbets aux fraises et framboises dans la grande salle du vieux bâtiment, autour d’une table de chêne. Il y fait chaud, on y est bien. — Tu as fait exprès, Antoine, d’être ici ce soir, je présume ? demande soudain Olivier.— Oui, j’ai pensé à ce jeu inventé une nuit du 4 août, quand nous étions étudiants. Ils sourient. Ils ont préparé leur scénario, c’est évident. — Alors, on remet ça ? interroge Olivier.— Bien sûr. Si les filles sont d’accord… Virginie et Nathalie approuvent avec enthousiasme. Les autres, dont moi, ne savent trop que penser. Olivier se lève et prend dans une armoire deux jeux de cartes et deux dés. — On ...
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