1. L'abolition des privilèges, notre jeu de la nuit du 4 août


    Datte: 09/01/2018, Catégories: fh, grp, hplusag, fplusag, jeunes, vacances, campagne, voyage, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pied, massage, jeu,

    Elle me paraît loin, aujourd’hui, la matinée du 30 juillet ! Les descentes étaient encore plus pénibles que les montées. Les cailloux roulaient sous mes chaussures, il fallait regarder sans cesse où je mettais les pieds. Puis ça remontait, interminablement. Les paysages étaient beaux mais j’avais mal aux pieds, mon sac à dos me sciait les épaules, j’étais moite de transpiration, les autres ne m’attendaient pas et filaient comme des dératés. David draguait Delphine, qui s’en montrait ravie. J’étais furieuse à tel point que j’ai juré de le faire cocu le soir même, pour le punir. Avec Antoine, par exemple. Il ne demandait que ça, me semblait-il. D’ailleurs il s’est retourné et m’a attendue. — Tu es fatiguée, Sophie ? On n’est plus très loin, maintenant. Il a regardé mes genoux, pas mis en valeur par mon short informe. Il m’a confié qu’on allait bientôt pouvoir prendre une bonne douche. Pourquoibonne ? Une douche, tout simplement. — Le soleil commence à taper. Tu aurais dû mettre de la crème, Sophie. Tu en as ?— Bien sûr que non ! Comme on décollait à 6 heures du mat…— Tu es crevée. Tu veux faire une pause ? Je vais t’en mettre, de la crème anti-coups de soleil. Et moi de m’asseoir sur la mousse, le dos soutenu par mon sac. Antoine m’a caressé les mollets, les genoux et même les cuisses, sous prétexte de crème. Puis il m’a tendu le tube pour que j’en passe sur mon visage. Mais il a fallu repartir. Plusieurs fois, il a prétendu qu’il ne restait plus qu’un petit quart d’heure de ...
    ... marche. Il était comme un grand frère pour moi. Il est gentil, Antoine, ostensiblement gentil ; il en fait même trop, et pour tout le monde. Il te sourit mais tu vois bien que tu ne comptes pas vraiment pour lui, que tu n’es pas grand chose à ses yeux d’un bleu trop clair. Cette fausse bienveillance des randonneurs, ces sourires, ces attentions superficielles, cesT’en fais pas Sophie on approche, t’en fais pas Sophie on trouvera bien un refuge pour dormir… À midi et demi nous étions quand même devant le gîte d’étape. J’ai récupéré David, il n’avait peut-être pas vraiment dragué Delphine, il s’est mis à côté de moi pour le repas. Je n’avais pas beaucoup de vêtements de rechange. Après la douche, j’ai mis un jean et un chemisier. Pas de soutien-gorge, il était humide de sueur, je l’ai lavé et mis à sécher au soleil. J’ai fait pareil pour mon slip. Là, j’en avais deux, un pour laver l’autre. Il ne s’est rien passé l’après-midi. J’étais moulue. Pendant le dîner, les garçons cherchaient à entrevoir mes seins quand je me penchais vers l’avant. Il a fallu dormir dans le refuge, bonsoir l’intimité ! Je me suis mise en pyjama dans les toilettes. Il faisait encore chaud mais au cours de la nuit je me suis glissée dans mon duvet. David était dans le lit au-dessus du mien, Antoine en face de moi. Il était en slip quand il s’est couché. Virginie, sa femme, était en face de David. Le lendemain matin on s’est levés de bonne heure. Il s’agissait encore de marcher avant le cagnard. Je boitais à ...
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