1. A la recherche des pizza perdues


    Datte: 10/01/2018, Catégories: fh, copains, jardin, cérébral, Oral humour,

    ... parc tout près, on sera tranquilles. Elle lui attrapa la main. Il suivit sans broncher. Ils s’assirent sur un banc, sous un arbre. Le parc semblait désert. Elle se cambra en arrière pour lui présenter ses seins. La bouche sèche et comme hypnotisé, il les regarda. Elle lui attira la tête vers sa poitrine. — Mords les ! J’adore ça. Il s’exécuta. Les tétons étaient fermes et pointaient fièrement, il les prit en bouche et commença à mordiller. Plus fort lui disait Valérie. Elle commença à gémir et s’empara de ses couilles à travers le pantalon. — Hum Je suis trempée. J’ai envie de baiser ! Baise-moi.— Ici ?!— Mais oui ici, tu n’as pas envie ? Elle s’allongea sur l’herbe, les bras et les jambes formant un X. Il s’allongea sur elle, dévora ses seins, encore. Sans ménagement elle s’empara de sa main et la fourra sous sa robe qu’elle avait largement remontée. — Plus de doigts, vas-y, n’hésite pas, je suis ouverte, lui souffla t’elle, son visage défiguré par la sueur et un sourire lubrique. Il remonta complètement sa robe et s’agenouilla devant elle. Sa chatte était entièrement épilée. Elle dégageait une odeur forte et excitante. Il s’en approcha et commença à l’embrasser, tout en faisant aller trois de ses doigts à l’intérieur de son minou extrêmement lubrifié. Elle gémit encore, ravie. Sa langue trouva son clitoris et s’y attarda, joua avec lui au rythme des halètements de Valérie, qui s’agrippait de toutes ses forces à ses bras, le serrant fort au point de lui faire mal. Elle ...
    ... cria, et son emprise se relâcha. Avec une vivacité que Rémi ne lui aurait pas imaginée, elle se releva et glissa la main dans son pantalon pour s’emparer de son sexe gonflé. Avec des gestes désordonnés ils réussirent à le débarrasser de son jean. Il s’assit, appuyé sur les coudes et la regarda s’emparer avidement de sa verge. D’une main elle caressait et malaxait ses testicules, l’autre index lui dessinait des chemins sinueux le long de son sexe, lui tirant des sourires et des grondements de satisfaction chaque fois qu’il atteignait son gland, extrêmement sensible. Elle ne le lâchait pas des yeux. Avec un air de bravade, elle baissa la tête et il sentit tout son être se gonfler d’excitation dans l’anticipation de ce qui allait venir. Elle couvrit sa verge de baisers, d’abord espacés, puis de plus en plus rapprochés. Désormais elle léchait son sexe tendu, le faisant cruellement mijoter, s’extasiant du mélange de tension et d’impatience qu’elle avait provoqué. Elle leva les yeux pour croiser son regard suppliant. Il était à sa merci. Du bas jusqu’en haut elle fit courir sa langue, lentement, s’arrêtant pour mieux repartir, humidifiant le gland, l’enserrant de son habile organe ; en de délicieux arabesques. Ses lèvres étaient proches de le happer, toujours plus proches, mais s’esquivaient au dernier moment et reprenaient leur cheminement érotique. Remi n’en pouvait plus. C’était un supplice, et c’était délicieux. La tension dans ses muscles était à son apogée, sa tête allait ...