Le stagiaire . . . (2)
Datte: 16/06/2017,
Catégories:
Erotique,
Le lendemain, je me gare sur le parking de mon hôpital, et, tiens ! Je ne vois pas le petit stagiaire ! Mais le parking est grand, ou bien il n’est pas encore arrivé. Bref, je vais aux vestiaires, me mets en tenue, vois mes collègues femmes, on discute et allons dans notre service. Surprise ! Je le vois dans la salle de pause. Je fais la bise à mes collègues, puis à lui. Il sent bon, je lui dis. — C’est pour toi, en me fixant dans les yeux. Il me trouble, surtout depuis hier soir quand je faisais la gâterie à mon homme, et que je me suis amusée de parler de ce stagiaire. Nous allons en salle des consignes, prenons les notes et retournons en salle de repos pour boire notre café, comme tous les matins. Vous vous souvenez ? Il m’a demandé mon numéro de téléphone et j’ai hésité en lui disant que j’allais réfléchir. Eh bien, c’est tout réfléchi, je lui donnerai quand j’aurai l’occasion, mais avant que je quitte le taf. Comme de coutume, avant le levé des patients, je vais fumer ma cigarette. J’hésite, puis je me dirige vers Seb pour lui dire que je descends fumer une cigarette. Il vient avec moi. Nous arrivons dans l’ascenseur quand Didier, qui travaille dans un autre service aujourd’hui, me fait la bise. -- Alors la croqueuse d’hommes va bien ? En éclatant de rire. — Arrête ! Nous sommes toujours dans l’ascenseur. — Tu veux toujours mon numéro de téléphone ? — Oui, si ça ne te dérange pas, j’aimerais bien. C’est dans le cas où ma voiture ne démarre pas, elle est âgée. Et puisque ...
... tu passes devant chez moi, c’est rassurant pour moi. — Tu as raison, on ne sait jamais. Tiens, je te l’ai écrit sur un papier. Nous parlons un peu de tout et de rien, puis remontons au service. La matinée se passe bien, vers 9h30 la pause, et reprenons le travail. Les quelquestoilettes que nous avons à faire. Dans une chambre, pendant une toilette, à un moment donné, on se retrouve en face-à-face, mais vraiment prés. Nous avons passé quelques secondes à se regarder dans les yeux, et c’est moi qui me suis décalée la première. Il me trouble, mais mon mari n’a qu’à pas m’exciter comme ça avec ses propos ! Ça va aller, demain je ne travaille pas, je suis en journée repos. Je ne le reverrai qu’après-demain, le temps de me calmer, et peut-être que lui aussi, puisqu’il est dans le même roulement que moi. Bref, tout se passe bien, la journée de travail se termine, nous rentrons chacun chez soi. Cela faisait à peine une heure que j’étais chez moi, à décompresser un peu de ma matinée passée au travail, que je reçois un SMS. Je regarde, c’est un numéro que je ne connais pas, mais je comprends rapidement qui est l’envoyeur de ce texto. C’est Seb ! Déjà ! Son SMS me demande si c’est sûr qu’il ne travaille pas demain, mais qu’il reprend avec moi après-demain. — C’est effectivement ça, tu reprends, comme moi, après-demain à 13H30 jusqu’à 21H00. — D’accord, j’avais un doute sur le coup. Merci. Ça va être long de ne pas te voir demain. C’est alors que je comprends que j’ai peut-être fait une ...