Le stagiaire . . . (2)
Datte: 16/06/2017,
Catégories:
Erotique,
... vaginales, et glisse lentement. Hum... J’aime ce que je suis en train de me faire toute seule. Je décide de baisser un peu plus mon pantalon moulant jusqu’à mes genoux, mon string prend le même chemin, j’écarte un peu plus mes cuisses, et j’introduis mon majeur à l’entrée de mon vagin. Je me surprends à entendre mon propre gémissement. Mon majeur entre un peu plus, encore, et encore jusqu’à ce qu’il fasse des va-et-vient. Un doigt ne suffit pas, j’en introduis un deuxième, puis un troisième. Me voilà assise sur mon canapé, jambes bien écartées, avec trois doigts de ma main droite (je suis droitière), à bouger rapidement dans mon vagin, pendant que ma main gauche s’active sur mon clitoris. Je gémis, je ferme les yeux, je prends du plaisir, j’aime ce plaisir solitaire. Pendant que je prends du plaisir, je m’imagine exciter le petit stagiaire, mais le pire, je suis en train de m’imaginer que j’ai son sexe dans ma bouche au moment où j’ai un gros orgasme. Je m’entends crier. Je retire me doigts humides de ma mouille, pousse un grand souffle de soulagement, et reprends mes esprits en me disant « Nathalie, je crois que tu vas passer le cap avec ce jeune, que tu te laisses aller à la tentation. » En même temps, entre mon mari qui m’excite avec ces images de sucer le stagiaire, parce que lui, ça l’excite aussi, sans pour autant qu’il veuille que je passe à l’acte, et ce stagiaire qui me fait du rentre-dedans, c’est plutôt difficile de rester de marbre ! Du coup, je passe dans la ...
... salle de bain pour me passer un petit coup de gant entre mes cuisses afin de rafraîchir cet endroit, humidifié de ma mouille. Je retourne dans le salon, je tourne en rond, un peu comme une bête dans sa cage. J’ai des choses à faire, mais pas envie de les faire. Et puis zut ! Demain je ne travaille pas, je verrai ça. Je prends mon téléphone, vais sur les premiers textos échangés avec Sébastien, et, encore une tentation, celle de lui envoyer un message. J’hésite, puis me voilà à pianoter sur mon écran tactile : mon mari est reparti faire une course. J’en profite pour te faire un petit coucou. Que fais-tu ? L’accusé de réception retentit. Il l’a reçu ! Il ne s’est pas écoulé 3 minutes, que la réponse arrive — Quel mari indigne de laisser sa belle femme seule à la maison. Je relis tranquillement mes premiers cours pour me rafraîchir la mémoire. Et toi, que fais-tu ? Je ne vais tout de même pas lui dire que je me suis donné du plaisir solitaire en pensant que j’avais son sexe raide dans la bouche. Alors je réfléchis quelques secondes pour lui répondre — Je termine mon ménage. C’est bien, tu es consciencieux. — Je veux absolument mon diplôme. C’est super important pour moi. — Si tu continues comme ça, il n’y a pas de raison que tu loupes ton examen. En écrivant ça, je transforme la phrase que je viens de lui envoyer dans ma tête en pensant en secret (Si tu continues comme ça, il va t’arriver une récompense que j’aurai envie de te faire) — Dis-moi, je peux te poser une question ? Tu me ...