1. Amours maudites


    Datte: 10/01/2018, Catégories: f, h, fh, ff, ffh, extracon, fsoumise, fdomine, soubrette, jalousie, massage, Oral pénétratio, initff, fsoumisaf,

    ... faire moi-même. Elle s’en offusqua presque. Raoul, son ancien maître, devenait maintenant son seigneur. Ils avaient gardé une habitude singulière. Pour tous les repas, elle restait debout à côté de lui et le servait. Gentiment, mais obstinément, Bette refusait que cela change. Elle prépara donc un rapide plat froid et le servit. Elle le regardait manger. Par l’échancrure de son peignoir, Bette contemplait le torse puissant de son amant. Un nouveau désir l’assaillit. Elle se pencha vers lui et lui susurra à l’oreille : — Tourne un peu ta chaise, mon chéri. Raoul ne comprit pas vraiment le but, mais obtempéra. Bette se mit à genoux devant lui et entreprit de défaire la ceinture de son peignoir. Lentement, elle en écarta les pans. Doucement elle prit la verge en main, l’entoura de ses doigts et commença un doux mouvement de va-et-vient. Raoul observait Bette, subjugué. Son sexe réagissait déjà à la caresse. Ils se regardaient, les yeux dans les yeux et cela intensifiait l’érotisme du moment. — Continue de manger, mon chéri. Il n’avait pas encore obtempéré, figé dans la contemplation de cette tête qui montait et descendait au rythme du plaisir prodigué par la bouche de la servante. Celle-ci releva un instant la tête et lui dit doucement : — S’il te plaît, continue de manger. Bette continua sa caresse buccale et Raoul reprit son repas. Pendant sa fellation, elle le dévisageait du coin de l’œil. Heureuse de son constat, elle accentua la pression et le mouvement de sa bouche sur ...
    ... le sexe. L’homme sentait une vive chaleur monter en lui. Bette des deux mains et de la bouche emprisonnait son sexe. Il eut presque honte, mais se répandit sur sa langue. La femme se releva et reprit son attitude soumise, contente d’elle, elle avait le sourire aux lèvres… La vie continua dans leur retraite, calme ou érotique selon le moment ou leurs envies. Raoul retournait une fois par semaine au château pour y régler ses affaires et surtout voir ses métayers. Bette profitait de ces moments pour faire le grand ménage de la maison, car les autres jours elle se consacrait presque exclusivement à son homme. Elle fut surprise quand elle entendit tinter la cloche de l’entrée. Elle n’attendait personne et d’ailleurs, à part quelques livreurs, nul ne venait jamais. Quand elle ouvrit la porte, elle fut très surprise de trouver sur le perron Madame Marie. Marie avait organisé de discrètes recherches par un détective qui avait facilement retrouvé la trace du mari adultérin. Elle avait bien songé, un moment, à effectuer un constat par un commissaire ou un huissier, elle obtiendrait ainsi un divorce avantageux lui permettant de retourner dans le monde et y mener une vie festive. Elle fantasmait cette situation au début de son installation au château, avant d’avoir connu et circonvenu Bette. Bette ne comprenait pas trop ce que sa maîtresse faisait céans. Un frisson la parcourut immédiatement, car elle repensait à la punition qu’elle lui avait infligée, elle repensait à cette douleur ...
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