1. Amours maudites


    Datte: 10/01/2018, Catégories: f, h, fh, ff, ffh, extracon, fsoumise, fdomine, soubrette, jalousie, massage, Oral pénétratio, initff, fsoumisaf,

    ... s’évanouit. Marie prit le bras de l’homme et l’attira vers le lit. — Nous vous espérions, monsieur, n’êtes-vous pas le maître en cette demeure ? Complètement perdu, son regard allait de son épouse hilare à sa maîtresse contrite. Cette dernière fut interpelée par sa compagne saphique : — Ne crois-tu pas, Bette qu’il serait bon de déshabiller monsieur ? Viens, aide-moi. Quatre mains féminines virevoltaient sur l’homme qui en très peu de temps se trouva à égalité vestimentaire avec les deux femmes. Inerte, l’époux de comprenait pas la soudaine connivence entre la maîtresse et la servante. Marie avait l’initiative maintenant et en usa : — Vous avez une chance, monsieur, que beaucoup de vos contemporains vous envieraient. Vous avez deux femmes toutes disposées à combler le moindre de vos désirs, mais vous avez aussi l’obligation de la réciproque, dit-elle avec un petit sourire en coin. Elle l’entraîna vers la couche et l’y allongea puis prenant le sexe de l’homme en main et regardant Bette, elle lui dit : — Viens, Bette, ravive les ardeurs de Monsieur. Bette dans une sorte d’éther, naviguait dans cet interespace où tout avait l’apparence de l’harmonie. Monsieur et Madame avaient l’air de s’aimer et elle les aimait tous les deux. À l’invite de l’épouse, elle se précipita donc et emboucha l’homme. Raoul n’avait certes pas l’initiative, la situation lui échappait, mais les caresses que lui prodiguait Bette réveillaient en lui ses ardeurs masculines. Son épouse, pas en reste, ...
    ... l’embrassait à bouche que veux-tu. Chacune de ses mains chercha le conin de ses partenaires et trouva… Ses doigts explorèrent des antres chauds et accueillants. Sous ses caresses, des ruisseaux de désirs se manifestèrent. Les femmes, comme si c’était d’un commun accord, investirent l’homme. Marie se positionna sur sa bouche et Bette sur son sexe. Toutes deux ondulaient au même rythme et se regardaient. C’est Marie qui la première caressa le sein de Bette, leurs corps se rapprochèrent pour échanger un baiser fougueux, ces corps ondoyaient sur l’homme et leurs mains sublimaient leurs sens. Leurs plaisirs montaient en eux et leurs extases explosèrent presque simultanément. L’entrelacs des corps, après cette débauche de sensualité, composait une scène que Gustave Courbet aurait jugé digne de son talent. En véritable femme de tête, Marie, la première, recouvra ses esprits et sa dignité qu’elle ceignit d’un vêtement. Raoul, un peu perdu après cette bacchanale, se leva à son tour et abandonna Bette à sa pâmoison. Il suivit son épouse du regard et de l’action. Le couple se retrouva donc dans une pièce contiguë à celle des lubricités passées. Marie, toujours aussi dominatrice engagea le fer. — Mon ami, ces ébats vous ont-ils éclairé ?— Qu’entendez-vous par là ?— Il vous a été loisible de constater que Bette m’aime.— … ?— Cette situation ne saurait perdurer et vous-même ainsi que notre servante devez rentrer au château.— Non. La réponse fusa, mais ne désorienta pas Marie. — Et pourquoi non, ...