1. La stagiaire


    Datte: 10/01/2018, Catégories: ff, religion, fsoumise, fdomine, humilié(e), chantage, Masturbation attache, gifle,

    Je m’appelle Anne, j’ai 19 ans et je suis élève éducatrice. Comme toutes mes camarades de promotion, j’ai été obligée de me trouver un lieu de stage pratique pour 6 mois. Après moult recherches infructueuses, j’ai finalement déniché un établissement de placement pour adolescentes dites « a problèmes », sans que me soit précisé exactement la nature de ces problèmes. Donc me voici devant un bâtiment sévère, aux murs gris et aux fenêtres étroites, encerclant une cours de bitume noir. Ce n’est pas folichon, mais pour effectuer un stage de 6 mois, je ne ferais pas la difficile, d’autant que j’ai trouvé celui ci en dernier recours. C’est un établissement privé, et une chapelle près de l’entrée donne le ton, ainsi qu’un immense calvaire en face de l’internat. Je ne suis plus pratiquante, mais bon, pour 6 mois je pourrais toujours donner le change… Je suis reçu par le directeur, un homme d’une cinquantaine d’années, grand, droit comme un I, l’air aussi austère que son établissement. L’accueil est franchement glacial. Il me parle règlement, discipline, punition…Et pour finir m’invite fermement à changer de tenue : « Ici Mademoiselle, on s’habille correctement. Je veux vous voir en uniforme et bien coiffée dès cet après midi. » C’est vrai qu’en jean moulant et tee short au-dessus du nombril, avec mes cheveux jouant sur mes épaules, je ne suis pas au diapason des lieux. Une jeune femme, sans doute une intendante, aussi sévère que le patron, me conduit vers ma chambre. Chambre est un ...
    ... bien grand mot pour désigner la cellule monastique de quelques mètres carrés qui m’attend. Pour tout mobilier, un lit en fer, une table une chaise et une petite armoire à deux portes. « Douche et toilette sont sur le palier » m’indique aimablement mon guide, qui me précisa se prénommer Sophie, avant de disparaître. Je me mets en demeure de déballer mes affaires et de les ranger dans l’unique placard. Puis il faut me changer.. La tenue d’uniforme des éducatrices est sur le lit : une jupe plissée assez courte et un chemisier blanc dont je laisse le col entrouvert… N’est ce pas trop osé pour les lieux ? Ainsi vêtue, j’ai rajeunie de cinq ans et j’ai l’air d’une lycéenne . On ouvre ma porte sans frapper. C’est la jeune femme de tout à l’heure. Elle m’examine en silence. Elle est elle même vêtue de la même tenue que moi. Une croix d’argent orne son col entr’ouvert., et je devine sa poitrine saillante sous l’étoffe du chemisier. Elle serait plutôt jolie si elle savait sourire… « Mademoiselle, il est vendredi, vous pourrez vous confesser à partir de 17 h à la chapelle » « Me confesser ?…mais je…enfin c’est à dire que…. » « Ici la confession est obligatoire tous les vendredi » Le ton est sans réplique, et elle se retire. Ma dernière confession remonte à ma première communion, il a …7 ans ! Je n’aimais pas beaucoup cet exercice. Ici, évidemment je n’ai guère le choix si je veux faire mon stage comme prévu. Bon, et bien j’irai me confesser ! 17 h. Me voici dans la chapelle sombre mais le ...
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