La stagiaire
Datte: 10/01/2018,
Catégories:
ff,
religion,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
Masturbation
attache,
gifle,
... Vous devrez être totalement soumise à ses ordres. Elle se chargera de vous éduquer et de vous discipliner. Vous devrez lui obéir strictement. Elle a toute licence pour vous punir ou vous faire punir. Par ailleurs, je veux vous voir tous les matins à 7 h à la chapelle commencer votre journée par une confession. Ainsi, j’espère que vous reprendrez le droit chemin. » J’étais abasourdie. Mais je n’avais encore rien vu. « Couchez-vous sur ce fauteuil et soulevez votre jupe mademoiselle » Je restais interdite, mais une gifle me ramena à la réalité. Je m’exécutais. D’un geste brusque le directeur abaissa ma petite culotte. Puis saisissant une badine flexible il entreprit de me flageller violemment. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier, et résister a la vingtaine de coups bien appliqués, mais j’avais les joues inondées de larmes… « Donnez moi votre petite culotte, mademoiselle, et restez à genoux face à mon bureau. J’ai du travail, et vous etes punie jusqu’à midi. » Il avait du travail , mais aussi des visites…Et jusqu’à midi, une demi douzaine de personnes, dont de jeunes pensionnaires, sont venu dans le bureau, et on pu me voir, agenouillée, immobile, les yeux baissés, honteuse et humiliée. Elles ne pouvaient ignorer que j’étais nue sous ma jupe, car le directeur avait posé ma culotte bien en évidence à côté de moi… A midi la cloche me délivra, et je me relevais en titubant, les genoux endoloris. Sophie me prit tout de suite sous sa coupe et m’entraîna au réfectoire, ou ...
... une vingtaine d’adolescentes, les pensionnaires, étaient déjà attablées. Sophie me poussa à ma place : devant moi, un morceau de pain sec et un verre d’eau. Je fus étonnée de devoir absorber deux gélules mais je n’osais pas poser de questions. « Vous êtes punie, c’est votre régime pour le week-end. Quand vous aurez fini, vous débarrasserez les tables et ferez la vaisselle. Cet après midi vous passerez la serpillière dans le réfectoire et les couloirs. » Et elle se retira sans que j’ai eu le temps de dire un mot… Quel après midi j’ai passé là ! On ne m’a fourni que des instruments de nettoyage rudimentaires, antiques et sous dimensionnés. J’ai du laver par terre, a quatre pattes, avec une demi serpillière…des km de couloirs ! faire une énorme vaisselle à la main, sans rien pour récurer autre que mes ongles…Et toujours, Sophie exigeait davantage : « Plus vite…..pas assez propre…..recommencez ! » Bizarrement, je sentais de sourdes envies monter en moi. Ce n’était évidemment ni le lieu ni le moment de me caresser, mais je commençais à en avoir très envie. J’en ignorai la cause, hormis que mon corps semblait devenir de plus en plus sensible… Au repas du soir j’étais épuisée, et toujours au régime pain dure et verre d’eau, avec encore ces mystérieuses gélules. Timidement, j’osais en demander le raison à Sophie. Elle me rappela que je devais me taire à table, et je bu mon verre sans mot dire. Sophie me raccompagna dans ma chambre, et là ce fut le comble de cette journée terrible. « ...