IP, IP, IP, Hourra ! IPV3
Datte: 10/01/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
fsoumise,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
... pourrait bien n’être qu’une fois de plus. — Non. Jamais. Enfin presque. Arnaud échange un regard avec moi. Je fais signe de continuer. Fait-elle allusion à Lisa, la vendeuse à domicile ? — Presque. C’est quoi, un presque amant ?— Une fois, juste une fois.— Mais raconte, petite pute. Tu nous fais bander, salope.— Il y a presque vingt ans. Avec un prof de notre fils qui lui donnait des cours de soutien à domicile.— Allez, raconte. La claque sur la fesse surprend Séverine, comme moi aussi d’ailleurs. — C’est une période où avec Pascal on se disputait souvent. Tout était prétexte à nous chamailler. Je le soupçonnais d’être infidèle. À l’époque, il se déplaçait beaucoup. Alors, comme ce prof me regardait avec un air intéressé, je l’ai fait venir une fois où mon fils n’était pas à la maison. On a baisé.— C’était bien ?— Oui, mais dès que cela a été fini, j’ai eu tellement honte que je l’ai congédié.— C’est tout ? Personne d’autre que moi ? Un moment de faiblesse bien pardonnable. J’ai moi-même, justement pendant cette période, satisfait des besoins avec des rencontres d’une heure. — Non. Arnaud me fait signe de m’approcher. Elle sent notre présence. Comment pourrait-elle ignorer Arnaud qui l’embrasse, ses mains qui la caressent et moi qui me colle contre son dos, passant une main exploratrice sous la robe « ras du bonbon » pour découvrir la masse métallique qui bouche son petit trou ainsi que la fine ficelle, partie visible de ce qui lui occupe le vagin. Séverine n’a plus rien de ...
... hiératique. Elle ne se refuse pas ; elle cherche le contact, ondule. Nous tournons autour d’elle. Je joue un moment avec les bijoux qui pendent de ses seins. C’est fou comme si peu de chose peut magnifier ! Un instant j’imagine déjà lui offrir de vraies pierres et lui demander dans le secret de notre maison de se promener avec, me délectant du mouvement de ces balanciers. Je l’embrasse. Sait-elle que ce n’est plus Arnaud ? J’ai bien fait attention de ne pas mettre mon eau de toilette et j’ai même poussé le détail à acheter celle d’Arnaud. Mais plein de détails peuvent nous trahir. Je n’ai pas la prestance de l’amant, mon ventre est arrondi, je suis quasi imberbe. Qu’importe ! La danse statique est lancinante. Je bande déjà comme un malade. Étrangement, c’est Arnaud qui semble le plus à l’aise de nous deux. Pourtant, moi à sa place, le mari à côté de moi, je me sentirais excité, bien sûr, mais moins entreprenant. C’est lui qui me place face à ma femme et qui lui saisit les mains pour les amener au premier bouton de ma chemise. Elle comprend. Un sourire même accompagne les premiers boutons, assez pour qu’elle puisse passer ses mains entre tissu et peau, découvrant que celui qu’elle déshabille n’est pas son amant, car je n’ai pas sa toison. On dirait que cela l’excite de vraiment toucher ce deuxième homme. On lui a dit qu’elle le connaissait. Cherche-t-elle à l’identifier ? J’ai peur un instant qu’elle me reconnaisse, mais dans notre cercle d’amis, je ne suis pas le seul à avoir ...